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La mort de Dom Juan et le rire de Molière

La mort de Dom Juan et le rire de Molière

Foudroiement, flammes, trappes, accident de projecteur, coup de carton sur la tête ou défenestration : la mise en scène de la mort de Don Juan dans Le Festin de pierre (Don Juan) (1665) de Molière et dans le Don Giovanni (1787) de Mozart a toujours représenté pour les metteurs en scène une gageure sur le plan dramaturgique, qui n’a d’égale que leur inventivité, et parfois leur humour, à la remotiver. Sous le titre "Crime et châtiment. La mort de Don Juan", les Colloques en ligne de Fabula accueillent un sommaire réuni par Lise Michel et Gabriele Bucchi à l'initiative du Centre d'Études Théâtrales de l’Université de Lausanne : les contributions viennent interroger le dénouement de la pièce de Molière (V, 5-6) et de l’opéra de Mozart (II, 15) dans les mises en scène produites sur une longue période qui va de Marcel Bluwal (1965) aux Fondateurs (2019), en passant par celles d'Antoine Vitez, Giorgio Strehler, Matthias Langhoff, Patrice Chéreau et bien d'autres. Le sommaire offre aussi deux entretiens avec des metteurs en scène : Jean-François Sivadier et Julien Basler.

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Et parce que le dramaturge est chez lui partout où l'on parle le français comme la langue de Molière, les Universités de Lausanne, Genève et Fribourg se sont associées pour une série d'initiatives fédérées au sein d'un projet "Rire avec Molière" soutenu par le FNS. Au programme, une série d'émissions de radio préparées par Marc Escola et Josefa Terribilini, diffusées sur la RTS-Espace 2 avec la complicité de Daniel Rausis et devenues des podcast, un jeu de société inspiré des Femmes savantes proposé dans les foyers des théâtres romands, des ateliers de médiation pour les publics scolaires, et bien d'autres manifestations tout au long de cette année qui marque le quatre-centième anniversaire de Molière. Le projet s'accompagne d'une série de publications, dont l'anthologie Osez (re)lire Molière établie par Claude Bourqui et Marc Escola (Flammarion/Librio), déjà saluée par Fabula, et de nouvelles éditions des Fourberies de Scapin, par Coline Piot, et du Médecin malgré lui, par Lise Michel (GF-Flammarion).

(Illustr. : Don Giovanni de Mozart, mise en scène Jean-François Sivadier, Aix-en-Provence, 2017, ©Pascal Victor/ArtComPress)

Écrire aussi grand que le peuple à venir (l'Internationale romanesque)

Écrire aussi grand que le peuple à venir (l'Internationale romanesque)

Évelyne Pieiller se souvient de sa mère : "elle avait été bonne à tout faire, ouvrière, caissière, elle était fière d’avoir son certificat d’études et se rappelait mystérieusement quelques grandes dates de l’histoire ouvrière. Elle n’avait aucune sympathie pour ceux qui jugent de haut les filles perdues, les malheureux, les pas-chanceux. Elle n’a jamais lu Les Misérables, ni Les Trois Mousquetaires. Mais elle en connaissait l’histoire. Et elle ne s’étonnait pas d’en être à sa façon familière. Elle ne s’en intimidait pas. Ça faisait partie de son patrimoine. Comme pour des millions de gens. Dans le monde entier." En publiant Mousquetaires et misérables. Écrire aussi grand que le peuple à venir : Dumas, Hugo, Baudelaire et quelques autres (Agone), Évelyne Piellier s'interroge : "Le petit peuple trop remuant qui se fera massacrer tout au long de ce XIXe siècle trop remuant et qui persévérera dans son absence de goût fera des Misérables sa légende, et, masse qui massivement se fout de l’Art, surtout avec une majuscule, fera de surcroît des Mousquetaires son idéal d’étincelante camaraderie. Le populo s’y est aimé, le populo s’y est embelli et armé : il a choisi ses Internationales romanesques. Rencontre fabuleuse entre les imaginaires des exilés de la Révolution, des orphelins de sa promesse de compléter l’humanité. On ne comprend rien au XIXe siècle si on ne comprend pas qu’il naît de la Révolution, qu’il la rêve sans trêve, y compris dans sa version cauchemar. Ce surgissement a reconfiguré le paysage mental, le sol et le ciel tremblent, l’individu est fêlé. Car la Révolution a inventé le peuple. Comment se fait-il que la littérature française du XIXe siècle ait fourni au monde quelques-uns de ses héros universels ? que ça commence ici et là, cette production d'imaginaire populaire ? et que ça s'arrête pour ne plus jamais reprendre ?… Et s'il fallait comprendre que ce qu’écrit un romancier est plus grand que lui lorsqu’il est à l’écoute de son temps de révolte populaire ?

Fabula vous invite à lire un extrait de l'ouvrage sur le site du Monde diplomatique…

(Illustr. : Les Misérables, affiche publicitaire de Jules Chéret pour une édition du roman de Victor Hugo publiée chez Jules Rouff, 1886)

Nos mots et les leurs (et ceux de Carlo Ginzburg)

Nos mots et les leurs (et ceux de Carlo Ginzburg)

Que peut apporter la réflexion de l’historien, qui tente de faire parler ce "pays étranger" qu’est le passé, sur la démarche qui permettrait de tenter de comprendre l’autre, l’étranger, celui qui est en face de soi, le plus proche, ou le plus lointain ? C'est la question fondamentale que soulevait Carlo Ginzburg dans un "Nos mots et les leurs", un essai traduit par Martin Rueff et accueilli en 2013 dans l'Atelier de théorie littéraire de Fabula.

La seizième livraison de la revue Incidence vient offrir d’autres points de vue que celui de l’histoire – ceux de la philosophie, de l’histoire de l’art, de l’anthropologie et de la linguistique, de la littérature, de la psychanalyse – pour entrer en dialogue avec Carlo Ginzburg, et poursuivre la réflexion engagée dans cet essai choisi comme texte de référence. 

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Rappelons que Carlo Ginzburg avait été en 2013 l'invité (et le parrain) du séminaire Anachronies animé par l'équipe Fabula à l'École normale supérieure : l'Atelier de théorie littéraire en conserve les archives.

Une éco-féministe en 1688 (Scudéry juste avant Descola)

Une éco-féministe en 1688 (Scudéry juste avant Descola)

On ne le sait pas assez : la découverte du caméléon en Europe suscita des débats dont les enjeux résonent jusqu'à nous, et Madeleine de Scudéry se mêla de sciences naturelles en insérant l'Histoire de deux caméléons dans un volume de ses Nouvelles Conversations morales (1688). Les éditions Thierry Marchaisse donnent à lire ce texte écoféministe avant la lettre, jamais republié depuis le XVIIe siècle : trois chercheurs, Aude Volpilhac, Anthony Herrel et Thierry Hoquet, nous introduisent, à partir de leur discipline, aux enjeux complexes suscités par la découverte du caméléon en Europe. Ils rouvrent le dialogue souterrain, mais bien réel, entre Madeleine de Scudéry, la romancière des sentiments, et Claude Perrault, l’anatomiste de Louis XIV, dont cette édition offre aussi la Description anatomique, en montrant sa surprenante fécondité : "le cas Méléon" permet d’éclairer les débats actuels autour du féminisme et du droit des animaux. Où l’on découvre que l’esthétique galante de l’âge classique rend lisible les sentiments des bêtes, au moment même où ils sont invisibilisés par le nouveau paradigme cartésien, et que l'auteure de la Clélie ou du Grand Cyrus pourrait bien avoir inventé la poétique des biographies animales… Fabula donne à lire un extrait de la Préface et le début du texte…

Faut-il faire l'éloge de la traduction ?

Faut-il faire l'éloge de la traduction ?

Tiphaine Samoyault faisait paraître l'an passé Traduction et violence (Seuil, coll. Fiction & Cie), dont Fabula avait donné à lire l'introduction : elle nous invitait à "ne ne plus voir dans la traduction le seul espace de la rencontre heureuse entre les cultures mais de la comprendre comme une opération ambiguë, complexe, parfois négative". Barbara Cassin défend une position qu'on aurait tort de croire plus irénique : après le catalogue de l'exposition tenue en 2017 à la Fondation Bodmer, publié avec Nicolas Ducimetière sous le titre Les Routes de la traduction. Babel à Genève, l'Académicienne publie un Éloge de la traduction, sous-titré Compliquer l'universel (Fayard). Dans le sillage du Vocabulaire européen des philosophies, Dictionnaire des intraduisibles, paradoxalement traduit ou en cours de traduction dans une dizaine de langues, Barbara Cassin invite à se méfier de l’Un et de l’universel, et se sert de l’outil sophistique pour faire l’éloge de ce que le logos appelle "barbarie", des intraduisibles, de l’homonymie. "Pour combattre l’exclusion, cette pathologie de l’universel qui est toujours l’universel de quelqu’un, elle propose un relativisme conséquent – non pas le binaire du vrai/faux, mais le comparatif du "meilleur pour". La traduction est un savoir-faire avec les différences, politique par excellence, à même de constituer le nouveau paradigme des sciences humaines. Parce qu’elles compliquent l’universel – dont le globish, langue mondiale de communication et d’évaluation, est un triste avatar – les humanités sont aujourd’hui passées de la réaction à la résistance".

Signalons aussi la récente parution de l'essai de Souleymane Bachir Diagne, De langue à langue. L'hospitalité de la traduction, qui nous invite quant à lui à imaginer Babel heureuse.

La nécessité du paysage

La nécessité du paysage

Les éditions Parenthèses abritent désormais une collection baptisée "La Nécessité du paysage", qui (re)donne notamment à lire l'essai fondateur de Joachim Ritter, Le Paysage. Fonction de l’esthétique dans la société moderne (1962), dans une nouvelle traduction de G. Raulet, avec L’Ascension du mont Ventoux de Pétrarque, et une préface de Jean-Marc Besse, lequel signe par ailleurs Voir la terre. Six essais sur le paysage et la géographie.

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Remo Bodei s'attarde pour sa part sur les Paysages sublimes. Les hommes face à la nature sauvage (Les Belles Lettres), en se demandant comment les lieux qui ont longtemps suscité l'effroi ont pu, au début du XVIIIe siècle, commencé à être perçus comme "sublimes", dotés d’une intense et bouleversante beauté.

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Antonio Rodriguez arpente de son côté Le paysage originel (Hermann) ; il y montre combien la littérature peut permettre de retrouver un sol : nous nous reconnaissons tous dans des lieux fondateurs avec des valeurs qui nous constituent. Le livre vient nouer une réflexion sur le paysage et l'identité et la question de la construction d’un "étranger au sein de la même langue" dans les poésies dites "francophones" ; le choix des paysages originels souligne chez ces poètes un trait commun  : on ne naît pas "écrivain francophone", on le devient. Fabula donne lire un extrait de l'ouvrage...

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Rappelons à cette occasion l'essai de Michel Collot accueilli dans l'Atelier de théorie littéraire : "Horizon structure", mais aussi, dans Acta fabula, les comptes rendus des livres du même Michel Collot, Pour une géographie littéraire ("Théories & pratiques de la géographie littéraire : bilan & perspectives", par Sébastien Baudoin) et de François Jullien, Vivre de paysage, ou L’impensé de la Raison ("Quand y a-t-il paysage ?", par André Laidli).

Voix, figure. Pour Bruno Clément

Voix, figure. Pour Bruno Clément

Dans le second vingtième siècle, la réflexion sur la figure dans le langage verbal a bousculé les frontières disciplinaires et revisité les perspectives théoriques en réinterrogeant les distinctions entre abstrait et concret, intelligible et sensible, spéculatif et narratif. Les recherches de Bruno Clément, au carrefour de la littérature et de la philosophie, ont renouvelé la pensée figurale, en premier lieu à partir de Beckett. Les contributeurs réunis par F. de Chalonge et F. Noudelmann dans un volume intitulé Figure, pensée, voix. Pour Bruno Clément (P.U. du Septentrion) se jouent des figures et des gestes de pensée, tels que la palinodie, l’éclat, le penser-à-rien, la tension ou la concession. Ils interrogent aussi les catégories de la fiction et de la voix et traversent les siècles pour relire Platon, Froidmont, Pascal, Molière, Rimbaud, Zola, Bergson, Genet, Duras, Beckett, Pinget, Ollier ou Hergé. Le lecteur trouvera ici matière à l’exploration des démarches héritières de la révolution figurale.

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Rappelons que l'Atelier de théorie littéraire avait accueilli un extrait de La Voix verticale (Belin, 2013) : "Une figure pour la voix", par Bruno Clément.

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ACTA FABULA
Revue des parutions

nouveautés

  • Michel Foucault & la phénoménologie (Christophe Premat)
  • Anarchie radicale & anarchisme méthodique (Bernard Bourrit)
  • Le Surnaturel dans l’océan Indien (Christophe Cosker)
  • Indocti discant et ament meminisse periti (Michel Renaud)
  • Le regard de Suarès (Silvia Giudice)
  • Alchimiste du vers, orfèvre de la rime (Daniel Fliege)
  • Le plaisir paradoxal de l’imposture romanesque (Eleonora Norcini)
  • En Arcadie, la littérature (Christophe Cosker)
  • Le choc du mot confronté à l’objet qui l’excède (Alexandre Morel)
  • Écrire l’enquête, situer l’enquêteur : pour une anthropologie scientifique, éthique & politique. (Mathilde Buliard)

FABULA LHT
Littérature, Histoire, Théorie

derniers numéros

  • N° 27 : Ecopoétique pour des temps extrêmes
  • N° 26 : Situer la théorie. Pensées de la littérature et savoirs situés (féminismes, postcolonialismes)
  • N° 25 : Débattre d'une fiction
  • N° 24 : Toucher au « vrai ». La poésie à l'épreuve des sciences et des savoirs
  • N° 23 : (Trans-)historicité de la littérature

appels à contributions

  • Fabula-LhT : La Littérature avant la lettre. L'album pour enfants devant la théorie littéraire
  • Fabula-LhT : Corps souffrant, corps politique

ces jours-ci

  • Jeudi 19 : Présent(s) de la science-fiction : évolution et diversification du genre à l’époque contemporaine (Aix-Marseille)
  • Jeudi 19 : Professionnels et agents de l’information. Pour une histoire sociale de l’activité d’informer (XVIe-XVIIIe siècles)
  • Jeudi 19 : Julien Gracq et la romanité. Conf. de Dominique Perrin (Lycée Henri IV, Paris)
  • Jeudi 19 : Positions, énonciations, regards. Spatialisation du genre dans la littérature et les arts contemporains
  • Jeudi 19 : Les formes nationales du rire. Territoires, frontières et circulations des cultures comiques (Paris Nanterre)
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ressources

l'atelier de fabula

  • Publicité sous influence littéraire, par Myriam Boucharenc (extrait)
  • Définir la prolepse. Un diagramme, une courbe et un glossaire, par Lise Charles (inédit)
  • Vernaculaire (littérature et langue), par Jérôme Meizoz (extrait)
  • Critique et création, par Marc Escola (inédits)
  • Réalisme et matérialisme, par Vincent Berthelier, Anaïs Goudmand, Mathilde Roussigné, Laélia Véron (extrait)
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colloques en ligne

  • Livres de voix. Narrations pluralistes et démocratie
  • Crime et châtiment : la mort de Don Juan (Molière et Mozart, 1965-2019)
  • Charles Pennequin : poésie tapage
  • Écocritique(s) et catastrophes naturelles : perspectives transdisciplinaires / Ecocriticism(s) and Natural Catastrophes: Transdisciplinary Perspectives
  • Le Chat botté dans ses expansions hypertextuelles
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actualités

parutions

  • Jack Kerouac, Anges de la Désolation
  • Quarto. Revue des Archives littéraires suisses, n° 50 : "Grisélidis Réal"
  • J. Mélançon, L'intervalle du pouvoir
  • O. Mannoni, Je sais bien, mais quand même
  • Ligature. Revue critique du livre d'artiste, n° 22
  • Stéphane Bikialo (dir.), Marie Cosnay, Traverser les frontières, Accueillir les récits
  • P. de Lancre, Tableau de l'inconstance des mauvais anges et demons, éd. de J. Céard
  • Ph. Simon, Les monstres de Rabelais
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appels

  • Uncovering an Aesthetics of Naval War Literature (Leuven (Belgium)
  • Postures, 2022, 36 : "De l’étude du vivant : la littérature au prisme des écologies"
  • Reviving Memory and Overcoming Oblivion: Comparative Aspects (Vilnius, Lithuanie)
  • Revue Arborescences : appel à dossiers thématiques
  • Transmissions et transgressions (revue Relais)
  • Le devenir du Congo : collaborer, imaginer, changer (5e colloque du Congo Research Network, Milan)
  • Le dire autrement
  • Colloque Graphè 2023 : Judas Iscariote (Arras)
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postes

  • Vacation "Culture antique et humanités", sept. 22- (Univ Versailles St-Quentin-en-Yvelines
  • Enseignant en Littératures francophones, équivalent Post-Doctorat (Toulouse)
  • Vacations au sein du Pôle langues de l'Institut Catholique de Paris (Campus de Reims)
  • Contrat de recherche post-doctorale en littérature française ou littérature comparée (XXe-XXIe siècles), PDR "Littérature et cartographie" (Université Saint-Louis- Bruxelles, Centre Prospéro)
  • Prix R2AD de la meilleure thèse en analyse du discours
  • Enseignant de français à l' Institut des études internationales de l’Université du Zhejiang, Chine
  • Charge de cours (vacation) à l'Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines
  • Chaire de professeur junior Littérature et écologie (Univ. de Strasbourg)
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divers

  • Auriant (Alexandre Hadjivassiliou), Une vipère lubrique, Paul Léautaud (1956)
  • Exposition "Un cirque en Afrique : l’aventure d’une famille française de cirque entre 1960 et 1981"
  • Pouvoirs de la fiction. Entretien avec Vincent Jouve (VoxPoetica)
  • "Linda Lê : la fraternité des fantômes", par Hugo Pradelle (en-attendant-nadeau.fr)
  • Quinn Slobodian, Les globalistes
  • Anne Akrich, Le Sexe des Femmes. Fragments d’un discours belliqueux
  • "Qu’est-il-arrivé à la Liseuse de Vermeer ?", par Wioletta Miskiewicz (en-attendant-nadeau.fr)
  • "Le Lieu de l'archive" (IMEC). Entretien avec Nathalie Léger
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