Publié le par Léo Mesguich (Source : Bénédicte Élie)
L’objectif de ce colloque sera de retracer l’histoire de la consolation depuis Sénèque et Boèce, mais aussi d’en étudier les fonctions, les métamorphoses, la survie et la réinvention, depuis Rousseau, tant au XIXe qu’au XXe et au XXIe siècles. La consolation explore les limites – limite entre les disciplines, limite entre l’intime et le public, limite entre les temporalités – pour nous permettre de comprendre cet être de la limite qu’est l’homme. La consolation se place constamment dans un entre-deux entre le privé et le public, le deuil et le remède, la commotion et la réflexivité, l’absence et un mode autre de la présence.