
Fabula appprend avec tristesse la mort du poète, critique et traducteur Stéphane Bouquet, né en 1967.
Le site En-attendant-nadeau.fr lui rend hommage, en republiant trois articles consacrés à ses titres récents.
"Nous recevons la nouvelle de la disparition précoce d’un homme énigmatique et d’un poète contemporain important, d’un critique savant et d’un traducteur majeur, avec tristesse. Mais avec l’énergie des lecteurs sensibles à cette force du poème qui nous habite, qui fait tenir la langue. Qu’il écrive de la poésie, qu’il parle de poètes américains, de Gus Van Sant ou de Pier Paolo Pasolini, quelles que soient les formes, il nous rappelait qu’il manque toujours quelque chose".
Stéphane Bouquet publie un recueil d’articles vivifiants sur la poésie. Plus qu’un exercice érudit, c’est le regard d’un poète sur la poésie qui s’y déploie, par Roger-Yves Roche.
Mouvement d’écrire, mouvement de vivre
Dans son dernier recueil, le poète Stéphane Bouquet part en quête d’un lieu où la vie comme « seul refuge » serait plus vivable, par Jeanne Bacharach.
Stéphane Bouquet s’attelle à un genre qu’il connaît bien, le scénario, et en viole allègrement tous les carcans, par Éric Loret.
Diacritik redonne à lire de son côté l'article que Jean-Claude Pinson avait consacré à l’un de ses précédents recueils, Neige écran.