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Ursula K. Le Guin : une écrivaine pour le XXIᵉ siècle
Au sein de la science-fiction et de la fantasy, comme dans la littérature générale, nombre d’écrivain(e)s revendiquent aujourd’hui son influence. La parution de Searoad, dernier de ses romans non traduit en français, est l’occasion de faire le point sur une œuvre aux multiples facettes, terriblement actuelles.
En métamorphose continuelle, par Céline Minard | Littérature étrangère
Céline Minard livre sa lecture d’Ursula K. Le Guin. Elle souligne que son œuvre est « un haut fait de littérature exploratoire », manifestant « une vision mouvante, délicate, éthique, politique et surtout poétique de la bonne façon d’aborder les mondes ».
Topoï, par luvan | Littérature étrangère
luvan fait la critique, fulgurante, poétique, de Lavinia, ultime roman d’Ursula K. Le Guin, où la femme d’Énée a le premier rôle. Dans ce « récit de métamorphose et de confiance », « nous sommes les lieux => topoï. Où tout peut advenir. Où tout, déjà, est mille fois advenu ».
Un pas de côté, par Sophie Ehrsam | Littérature étrangère
Dans Searoad, Ursula K. Le Guin entrecroise des récits dans une veine réaliste qui peut surprendre, mais qui fait écho à ses autres livres tout en manifestant des facettes différentes de son talent.
La musique des textes, par Hélène Collon | Littérature étrangère
Traductrice de Searoad, Hélène Collon explique comment elle est arrivée à ce livre, et que les traducteurs doivent avoir l’« oreille » capable de capter la tonalité propre à chaque texte.
D’autres petites lunes, par Elio Possoz | Littérature étrangère
Elio Possoz, auteur des Mains vides, raconte combien sa lecture des Dépossédés de Le Guin a été libératrice, lui permettant de laisser le héros « dans le sac-à-patates où il doit être habituellement rangé ».
« La Vérité est affaire d’imagination », par Sébastien Omont | Littérature étrangère
Pourquoi Ursula K. Le Guin inspire-t-elle autant d’écrivain(e)s ? Tentative de réponse à travers ses deux romans les plus célèbres, La main gauche de la nuit et Les dépossédés.
(Photo. : Ursula K. Le Guin, vers 1970) © Wes Guderian)