Les traducteurs de bande dessinée / Translators of Comics
Sous la direction de Véronique Béghain et Isabelle Licari-Guillaume
Collection « Translations »
Presses Universitaires de Bordeaux
Septembre 2019
154 p.
15,00€
ISBN 979-10-300-0438-0
PRÉSENTATION
A travers sept contributions portant sur différentes aires linguistiques, ce volume vise à souligner la diversité des rôles endossés par celles et ceux qui traduisent, adaptent et transmettent la bande dessinée, dans des contextes marqués par de multiples contraintes techniques, économiques et culturelles. Amateurs ou professionnels, auteurs, artisans, créateurs, ces traducteurs et traductrices agissent comme les relais d'une norme collective, à l'échelle nationale ou à celle, plus réduite, d'un éditeur ou d'une communauté de fans. L'ambition de cet ouvrage est donc de poser les jalons d'une approche sociale et pragmatique de la traduction de bande dessinée, par une attention soutenue à ses enjeux, mais aussi à ses acteurs.
SOMMAIRE
INTRODUCTION :
Nicolas LABARRE (Université Bordeaux Montaigne)
FIRST PART: Author, amateur, mediator : the many roles of the translator / PREMIERE PARTIE: Auteur, amateur ou passeur : la diversité des rôles du traducteur
Bartholomew HULLEY (Université de Lorraine), “The Inner Voice and Inner Ear of the Translator”
Isabelle LICARI-GUILLAUME (Université de Nice Côte d’Azur), “Bilingualism and Translation Devices in Comics”
Julien BAUDRY (Université Bordeaux Montaigne), « Traduire et transmettre la bande dessinée à l’âge numérique »
Marie PRUVOST-DELASPRE (Université Paris 8), « Les communautés de fansub d’animation japonaise »
SECOND PART: Case studies / DEUXIEME PARTIE : Études de cas
Mariyama SCOTT (Bennington College) “Translating a Graphic Text: Self-Censorship in the Translation Process”
Benoît GLAUDE (FNRS, Université Catholique de Louvain) et Geneviève MAUBILLE (Université Catholique de Louvain) : « Traduire avec Raule, ou comment traduire une œuvre en pleine écriture »
Julie GALLEGO (Université de Pau et des Pays de l’Adour), « Le retour à la langue de l’intrigue, ou comment rendre son latin à Néron »