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E pare che ad ogni cosa corrisponda il suo contrario. Penser les contrastes en Europe au début de l’âge moderne (Tours)

E pare che ad ogni cosa corrisponda il suo contrario. Penser les contrastes en Europe au début de l’âge moderne (Tours)

Publié le par Marc Escola (Source : Ricci)

Journée d’études

« E pare che ad ogni cosa corrisponda il suo contrario »

Penser les contrastes en Europe au début de l’âge moderne

20 Mai 2020

 

La modernité est sous le signe de Protée et de Prométhée : tradition et changements, norme et transgression, modèles et contre-modèles, pouvoir du passé et célébration des nouveautés : c’est autour de ces notions que nous allons réfléchir et discuter lors de cette rencontre qui privilégiera la combinaison des approches littéraires, sociologiques, philosophiques et artistiques.

Plusieurs changements affectent le tournant des XVe et XVIIe siècles au niveau artistique, politique, religieux, économique, ce qui implique l’élaboration et la mise en place de normes, institutions, règles qui encadrent la société, l’art, la littérature. Mais les normes et les règles sont elles-mêmes fluctuantes et une fois assimilées elles sont dépassées et transgressées.

La culture de cette époque est fondée sur le contraste, comme le dit L. B. Alberti : « E pare che ad ogni cosa corrisponda il suo contrario ».

Une attention particulière sera portée au rôle des femmes dans la littérature, des intellectuelles dans la culture de la première modernité.

Envoyer propostion -titre + résumé- avant le 1er mars 2020 à :

M. T. Ricci: maria.ricci@univ-tours.fr