Baroque ? Non, bizarre !
Colloque international. universite Paris ouest
Jeudi 12 avril 2012
14h Ouverture du colloque
Daniel Ménager (Université Paris Ouest-Nanterre).
Présidence de séance : Daniel Ménager
14h15 Christine Noille (Université de Grenoble) :
La bizarrerie, un modèle possible pour composer le divers.
14h45 Alice Vintenon (Université Paris Ouest-Nanterre) :
La valorisation des bizarres fantaisies dans la théorie littéraire et
artistique italienne du XVIe siècle.
15h15 Marie-Dominique Legrand (CSLF Paris Ouest/IUFM Cergy) :
La 'lonza di pel macolato' (Dante), les 'singularités'(Thevet) et le mot ‘bizarre’ chez Vigenère à propos des ‘ Centaurelles’.
pause
16h15 Jean Céard (Université Paris Ouest-Nanterre) :
D’un pinceau bisarre : les bizarreries de la nature à la Renaissance.
16h45 Marie-Christine Gomez-Géraud (Université Paris Ouest-Nanterre) :
L’Ile des Hermaphrodites (1605) : une anamorphose du bizarre.
17h30 cocktail
Vendredi 13 avril 2012
Présidence de séance : Liliane Picciola
9h45 Phillip John Usher (Columbia University, USA) :
1599 : l'année tragico-bizarre après l'Édit de Nantes.
10h15 Jean Canavaggio (Université Paris Ouest-Nanterre) :
Don Quichotte, loco bizarro.
pause
11h15 José Manuel Losada Goya (Université Complutense, Madrid) :
Bizarre : la valeur heuristique du mot en France et en Espagne
au XVIIe siècle.
11h45 Yen-Mai Tran-Gervat (Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3) :
Les avatars de la "bizarrerie" dans les traductions françaises de
Guzmán de Alfarache de Mateo Alemán.
déjeuner au restaurant VIP de l’université
Présidence de séance : Marie-Christine Gomez-Géraud
14h15 Max Vernet (Queen’s University, Canada) :
La maniera de Jean-Pierre Camus.
14h45 Françoise Poulet (Université d’Avignon) :
Les problématiques contours du bizarre : de l’extravagant à
l’extraordinaire.
pause
15h45 Liliane Picciola (Université Paris Ouest-Nanterre) :
Le bizarre dans la dramaturgie comique de Pierre Corneille.
16h15 Henriette Levillain (Université Paris IV-Sorbonne) :
Pourquoi le baroque est-il bizarre et le bizarre n'est-il pas baroque ?
Conclusions, par Liliane Picciola