Collectif
Nouvelle parution
Cahiers de L'Herne : Jean Echenoz (J. Faerber, dir.)

Cahiers de L'Herne : Jean Echenoz (J. Faerber, dir.)

Publié le par Alexandra Follonier

Cahiers de L'Herne : Jean Echenoz

Sous la direction de Johan Faerber

Depuis la parution du Méridien de Greenwich en 1979, Jean Echenoz s’est imposé comme l’un des écrivains parmi les plus singuliers et les plus novateurs du paysage littéraire français de notre temps, reconnu par la critique et suivi par un public toujours plus enthousiaste. 

Ce Cahier de L’Herne propose d’interroger une œuvre qui n’a cessé de déplacer ses enjeux pour interroger de nouvelles formes narratives. De fait, loin d’être figées, l’interprétation et la connaissance de l’œuvre de Jean Echenoz se voient constamment remises en jeu par les romans successifs que l’auteur a pu faire paraître, chaque nouveau récit éclairant d’une lumière neuve les romans précédents. Le volume révèle plusieurs périodes de l’écriture de Jean Echenoz rendues lisibles grâce aux carnets personnels de l’écrivain, accessibles pour la première fois et dont la lecture modifie en profondeur la saisie de l’œuvre. Alternant les contributions de spécialistes, qui interrogent la poétique même d’Echenoz, avec des interventions d’autrices et d’auteurs qui, toutes générations confondues, rendent hommage à l’influence majeure de Jean Echenoz dans la littérature contemporaine, ce Cahier entend dessiner le portrait de l’un des romanciers qui, s’il se tient parmi l’un des plus discrets de sa génération, n’en est pas moins l’un des plus influents.

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On peut lire sur Diacritik.com un entretien avec le diacritique Johan Faerber qui a supervisé ce volume…

Et sur en-attendant-nadeau.fr :

"L’encyclopédie Echenoz", par Norbert Czarny (en ligne le 29 octobre 2022).

Un projet de 1997 frappe le lecteur du Cahier de L’Herne consacré à Jean Echenoz. C’est un des inédits proposés : « Vie de Dominique Zardi ». Les amateurs de Chabrol ou de Mocky ne connaissent que Zardi. Avec son compère Henri Attal, ils formaient un duo de deuxièmes ou troisièmes rôles indispensables dans la machine comique ou sarcastique des cinéastes. Duos, machine, drôlerie, il n’en faut pas plus pour entrer dans l’univers d’Echenoz.