Jean-Claude Caër
Cela prendra-t-il fin ?
Saleh Diab
Étoile tirée du nid
Traduit de l’arabe par Annie Salager et l’auteur
Benoît Reiss
Quatre poèmes
Pierrine Poget
Carnets d’une veilleuse
La trace du souffle
La trace du souffle
Marion Graf et Alexey Voïnov
Vasyl Stus
Le malheur gronde
Traduit de l’ukrainien par Georges Nivat
Julia Cimafiejeva
et ensuite
Traduit du biélorussien par Alena Lapatniova
Polina Barskova
Hier, aujourd’hui
Traduit du russe par Marion Graf
Chaque ville ne sera plus jamais mienne
Traduit du russe par Henri Abril et Eva Antonnikov
Marianna Kiyanovska
Partager la lumière
Traduit de l’ukrainien par Iryna Dmytrychyn
Génia Berkovitch
Rien n’a aidé
Traduit du russe par Marina Skalova
Tracé
Amaury Nauroy
Mon ami de Fribourg
Traducere
Gilles Ortlieb
À propos des Journées de Georges Séféris
Le Roi du vide
Alexey Voïnov
Transistors, violettes et chuchoteurs
Traduit du russe par Marion Graf
Lectures
Par Tristan Hordé, Jonathan Wenger,
Mina Süngern, Alessio Christen
—
Photographies de Julia Cimafiejeva
—
La Revue de Belles-Lettres dévoile son nouveau numéro à travers deux soirées.
À Lausanne - le mardi 10 septembre 2024, 18h à la Librairie Basta
À l’occasion de la publication de « Carnets d’une veilleuse », texte de Pierrine Poget
construit à partir du carnet de liaison d’une Soeur principale d’un hôpital genevois, nous
évoquerons avec elle les ego-documents : textes-traces qui portent en eux quelque
chose d’irréductible qui engage le présent.
Alexei Voïnov, Eva Antonnikov et Marion Graf présenteront le dossier principal consacré à 5 poètes d’Ukraine, du Bélarus et de Russie, qui tentent de conjurer, par l’écriture poétique, les affres d’un présent capturé par la guerre. Nécessaire et libératrice, la poésie fait sortir la peur.
À Genève, le mercredi 11 septembre, 18h, Librairie Le Temps d'un livre
Pour la RBL, l’écrivain et traducteur russe en exil Alexey Voïnov a réalisé avec Marion Graf un dossier rassemblant cinq poètes d’une région déchirée par la guerre et la répression : à découvrir, Vasyl Stus, grand poète ukrainien mort au Goulag en 1985, traduit et présenté par Georges Nivat ; et quatre poétesses qui illustrent la force de résistance de la poésie dans leur pays, aujourd’hui : Marianna Kiyanovska, Julia Cimafiejeva, Polina Barskova, et Génia Berkovitch, dramaturge et poète russe récemment condamnée à six ans de prison pour des raisons politiques. Elle est traduite par Marina Skalova.