La saga de la rentrée, un feuilleton en quatre épisodes haletants !
TOME 1
1845. Une double chasse a lieu dans la forêt d’un grand domaine de Sologne où rôde le braconnier Bête-Puante. Chasse au renard, battue au prisonnier évadé. Laquelle des deux proies sera-t-elle prise ?
Le pouvoir de la fortune semble mettre le comte Duriveau, grand propriétaire cynique, à l’abri de tout. C’est compter sans ceux que sa brutalité dresse contre lui, et sans son propre fils, Scipion, aussi arrogant que venimeux. Le ciel sans nuages des puissants se couvre à mesure que les questions surgissent : qui est donc l’énigmatique Martin, le valet du comte ou l’ami du criminel échappé ? qui veut éliminer le comte ? qui est responsable de la mort d’un nouveau-né ? Parallèlement à l’enquête, le lecteur remonte au temps où trois orphelins, trois enfants trouvés, brûlaient les planches du cirque dirigé par le sinistre La Levrasse et son acolyte, la mère Major…
Voici le premier des quatre volumes d’une série haletante, dont les rebondissements nous entraînent des baraques de fortune au faste des salons parisiens, des routes de campagne au boulevard du crime.
Pulp fiction du XIXe siècle, publié peu avant la révolution de 1848, Les Misères des enfants trouvés traite de front des thèmes toujours brûlants : l’éducation et la protection de l’enfance, la condition féminine et la brutalité des rapports sociaux.
TOME 2
Après mille et une péripéties, Martin et « Bamboche » rejoignent la troupe de saltimbanques de La Levrasse et du Major et font la connaissance de Basquine – dont Bamboche est tombé amoureux – et de l’homme-poisson, Léonidas Requin.
Exploités et maltraités les trois enfants se vengent de leurs bourreaux et s’enfuient. Les voilà lâchés, seuls, et sans beaucoup de repères – mais toujours débrouillards – en pleine campagne. Après bien des aventures, Martin est recueilli par Claude Gérard un instituteur de village qui mène, comme tous ses collègues, une existence misérable et enseigne, avec les bêtes, dans une écurie – puisque les notables et l’église s’opposent à l’éducation populaire du plus grand nombre… Si l’existence, malgré tout, est plus douce, Martin ne rêve que d’une chose : retrouver ses camarades d’enfance. Des rebondissements sont encore à la clé… !