On ne le savait pas bien : l'écrivain suisse Paul Nizon a écrit un certain nombre de critiques d’art, comme en préambule à son œuvre littéraire. De Goya à Hodler en passant par Turner, de Picasso et Malevitch à Morandi, Rothko et Giacometti, en passant par Soutine et Miró, l’écrivain y dessine, comme en passant, sa propre existence avec l’art et en l’art. Sous le titre Le regard ramassé. Une anthologie de l’art moderne (Actes Sud), Pino Dietiker et Konrad Tobler donnent à lire ces textes qui relèvent de la critique d'art. Fabula vous invite à lire un extrait du volume et à parcourir son sommaire…
Rappelons au passage le publication, déjà saluée par Fabula, du récent dialogue de Paul Nizon et Frédéric Pajak : Pourquoi tu me regardes comme ça ? (Noir sur Blanc), où les deux amis se demandent ce que c'est qu’être écrivain.
—
Lire aussi les éditoriaux de la rubrique Questions de société…
ainsi que ceux de la rubrique Web littéraire…