
« Ces variations autour de la puissance d'agir […] ont pour objectif commun de ressaisir la puissance dans l’impuissance et de passer de la peur de la mort à la jouissance de l’éternité, de la finitude du corps au développement de ses capacités, de la servitude des affects à la fortitude retrouvée. Il s’agit ainsi d’exprimer la positivité du négatif en allant chercher la puissance là où ne s’attendrait pas à la trouver. »
SOMMAIRE
Avant-propos
L'éternité de l’esprit
Introduction
Ad captum vulgi. Parler ou écrire selon la compréhension du vulgaire
Notion commune et éternité
La spécificité de la conception spinoziste de l’éternité de l’esprit
Sub quadam specie aeternitatis. Signification et valeur de cette formule
La positivité du faux
Introduction
La perfection de la durée
La positivité des notions de bien et de mal
Le rôle positif de la volonté chez Spinoza
La positivité de la conscience
Spinoza dans le temps
Introduction
L’éternité de Dieu à l’horizon de la pensée scolastique. Commentaire du chapitre I de la partie II des Pensées métaphysiques
Temps, durée et éternité chez Spinoza et dans la tradition scolastique
L’essence de l’amour dans les Dialogues d’amour de Léon Hébreu et dans le Court Traité
Les trois erreurs de Bacon selon Spinoza
La référence à la conception spinoziste des rapports du corps et de l’esprit dans l’ouvrage de Paul Ricœur et Jean-Pierre Changeux, Ce qui nous fait penser. La nature et la règle
Corps et affects
Introduction
Le problème de la différence entre les corps
Corps et passions
L’amour du corps dans le Court Traité
L’apparition de l’amour de soi dans l’Éthique
La peur de la mort
La fortitude cachée
Postface à la seconde édition