Édition
Nouvelle parution
E. A. Poe, Nouvelles intégrales - Tome 1, 1831-1839

E. A. Poe, Nouvelles intégrales - Tome 1, 1831-1839

Publié le par Université de Lausanne

Edgar Allan Poe

Nouvelles intégrales - Tome 1, 1831-1839 

Christian Garcin (Traducteur) Thierry Gillyboeuf (Traducteur) Sophie Potié (Illustratrice)

Phébus éditions

ISBN : 978-2-7529-1100-1

428 p.

27,00 €

 

PRÉSENTATION

Ce premier tome de notre Intégrale regroupe les nouvelles qu'Edgar Allan Poe (1809-1849) écrivit avant ses trente ans. Luttant pour survivre et être publié, faisant ses débuts de critique et de journaliste, il commet plusieurs chefs-d'oeuvre : le " Manuscrit trouvé dans une bouteille ", " Bérénice ", " Le diable dans le beffroi ", " L'histoire à nulle autre pareilled'un certain Hans Pfaal ", et bien sûr " William Wilson " ou la très célèbre " Chute de la Maison Usher ". 

Présentée de manière chronologique, fruit d'un travail érudit et passionné, cette nouvelle traduction des nouvelles intégrales d'Edgar Allan Poe par Christian Garcin et Thierry Gillyboeuf est augmentée de nombreuses notes, d'une préface des traducteurs, ainsi que d'une série d'illustrations originales réalisées par Sophie Potié.

Lire les premières pages...

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On peut lire sur en-attendant-nadeau.fr un article sur cet ouvrage :

"Poe, de près", par Marc Porée (en ligne le 8 octobre 2019)

Nombreux sont les classiques étrangers, de Kafka à Orwell, en passant par Sterne, Cooper et Stevenson, à connaître une seconde jeunesse en repassant sur le métier du traducteur. L’un des derniers à bénéficier de cette cure de jouvence assurément providentielle, c’est Edgar Allan Poe. Dans son cas, pourtant, on pensait que la traduction de ses nouvelles par Baudelaire était l’exception qui confirmait la règle, en raison de son caractère d’emblée définitif et comme absolu. On imaginait le « Calme bloc ici-bas chu d’un désastre obscur » entrevu par Mallarmé à jamais entré dans le panthéon des intouchables. « Tel qu’en Lui-même enfin l’éternité le change. » On se trompait, et il faut savoir gré à Christian Garcin et Thierry Gillybœuf, les deux maîtres d’œuvre du chantier Poe aux éditions Phébus, d’avoir osé bousculer ainsi la statue du Commandeur.