Préface de Thierry Clermont
C’est l’histoire d’une amitié fraternelle entre deux monstres sacrés de la littérature que tout semblait opposer, George Sand et Gustave Flaubert. Une complicité illustrée par une vaste correspondance échangée de 1863 à 1876. Elle l’appelle « mon vieux troubadour », il lui donne du « chère bon maître ».
Qu’ils parlent de littérature, de politique, de leur vie quotidienne, de leurs voyages, le ton est toujours libre, où se mêlent l’humour, la fantaisie, les coups de gueule, mais aussi la tendresse et l’admiration mutuelle. Dans ce dialogue intime, ces deux-là se parlent à cœur ouvert.
La présente édition propose un choix de plus d’une centaine de lettres, qui comptent parmi les plus touchantes de la littérature épistolaire.