Au centre des études réunies dans l'essai de Carlo Ginzburg nouvellement traduit par Martin Rueff sous le titre La lettre tue (Verdier), on trouvera des personnages célèbres, comme Montaigne ou Italo Calvino, ou méconnus, comme Jean-Pierre Purry ou M. de La Créquinière, des textes ou des images… et un élément récurrent : la réflexion sur la méthode historique, sur les liens entre études de cas et éléments du hasard, souvent délibérément produit. Carlo Ginzburg y esquissse une nouvelle perspective pour la microhistoire, dont il est l’un des fondateurs, fidèle ici encore à l'intangible principe d’Aby Warburg : "Le livre dont vous avez besoin se trouve juste à côté de celui que vous cherchez". Fabula vous invite à en découvrir la Table des matières et lire sa Préface… Rappelons que l'Atelier de théorie littéraire héberge un texte rare de Carlo Ginzburg : "Nos mots et les leurs. Une réflexion sur le métier de l'historien, aujourd'hui".
Editos
Actualités
Publié le par Marc Escola