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L’appropriation. Jacques Chatué, penseur de l’universel et du particulier

L’appropriation. Jacques Chatué, penseur de l’universel et du particulier

Publié le par Marc Escola (Source : Christian Toumba Patalé)

Appel à contribution pour un ouvrage collectif en l’honneur du Professeur Jacques Chatué

Sous la direction de Roger Mondoué[1], Marlène Sokeng-Fomena[2], Christian Toumba Patalé[3] et Romuald Dezo Mouafo[4]

L’appropriation. Jacques Chatué, penseur de l’universel et du particulier

1. Argumentaire

Au-devant des universaux, l’Afrique noire doit faire le choix de ses modes d’appropriation. En tant que celle-ci implique un re-travail effectué en fonction d’une perspective endogène, elle peut s’envisager tour à tour selon le modèle de la traduction ou de la transaction, de l’essaimage ou de la rencontre, mais jamais selon le modèle de l’application en l’état des offres exogènes, y compris lorsqu’elles sont drapées des oripeaux de l’universel. Ainsi est-il de la Raison, de la Science, de l’Expertise, du Développement, du Progrès, du Droit, de la Démocratie, de l’Économie, de la Gouvernance, de l’État, de la Politique, des Institutions, de l’Éducation, de la Laïcité, de la Liberté, etc.

Dans cette perspective, la pensée de Jacques Chatué, marquée par une pluridisciplinarité forte, est une réponse à cette question cruciale doublement philosophique et stratégique : comment donner sens, c’est-à-dire, avant tout, une consistance propre, au « nous » à partir duquel il est question, dans le contexte actuel de darwinisme normatif, de revendiquer quelque lutte ou quelque appropriation de tel ou tel universel ? D’où son projet philosophique majeur : fédérer les efforts intellectuels, en général, et les efforts philosophiques négro-africains, en particulier, autour du thème stratégique de l’affirmation/résistance de l’Afrique comme nation(s). Voilà pourquoi, en s’éloignant décisivement de la question du jeu entre l’universel et le particulier, il aborde celle de l’appropriation des universaux ; appropriation qu’il ne faut ni approcher en termes d’adoption ou de conservation, ni en termes d’adaptation, mais davantage en termes d’affirmation et de résistance. Une telle conception de l’appropriation, plus susceptible de création et d’innovation, parce que fondée sur l’exigence épistémologique de la créativité humaine infinie, permettrait aux africains d’envisager les universaux en fonction de leurs réalités, c’est-à-dire de leur culture et de leurs intérêts, adossés à leur utile propre et commun. En tout cas, tout ce que traduit la posture stratégique de la transculturalité, comprise comme la métaphore d’un franchissement (sans abolition) des frontières, et le concept d’une transmissibilité des normes émanées de la normativité des peuples.

Le présent appel à contribution porte donc sur un philosophe camerounais emblématique, dont la pensée reste, au fond, un appel, l’appel à un éveil, l’éveil à une tâche, qui est spécifiquement une tâche d’épistémologie ; l’épistémologie étant pour lui le plus sûr recours pour une rencontre stratégique entre activité scientifique et pensée politique.

L’objectif du présent appel, résolument pluridisciplinaire, est de tenter d’appréhender cette pensée qui se veut école, ou du moins à l’école, dans ses diverses déclinaisons à la fois philosophique, épistémologique, politique, stratégique, éthique, économique, pédagogique, heuristique, religieuse, etc. ; en tout cas, tout ce qui relève du « dedans » de l’Afrique et qu’il convient de défendre contre son « dehors ».

2. Axes thématiques

Les axes ci-après pourront orienter les réflexions des différents contributeurs :

Axe 1 : La refonte endogène de la question du développement ;

Axe 2 : Appropriation africaine de l’épistémologie ;  

Axe 3 : Science et culture en Afrique ;

Axe 4 : Éthique et recherche scientifique ;

Axe 5 : Logique et méthodologie ;

Axe 6 : Économie, droit et agronomie du développement ;

Axe 7 : Politiques endogènes de la recherche et éducation ;

Axe 8 : Philosophie des institutions ;

Axe 9 : La question de la Nation-État face à l’État-nation ;

Axe 10 : L’Afrique dans son rapport au travail manuel et au travail tout court ;

Axe 11 : Laïcité et religion civile en Afrique ;

Axe 12 : L’homme de l’œuvre : témoignages et récits de vie.

3. Modalités de contribution et calendrier

Les contributeurs sont invités à envoyer leurs résumés (de 500 mots maximum, respectivement assortis d’une bibliographie) à ces quatre adresses e-mail :

-       mondoue@yahoo.fr

-       toumbapatale@gmail.com

-       marlenesokeng@gmail.com

-       dezoromuald@gmail.com

Le calendrier retenu est le suivant :

-       Publication de l’appel à contribution : 20 mars 2023,

-       Date limite de réception des propositions de résumés d’articles : 17 mai 2023,

-       Réponses sur la recevabilité des propositions de résumés : 27 mai 2023,

-       Date limite de proposition des textes complets rédigés : 17 août 2023,

-       Publication : 7 janvier 2024,

-       Dédicace : 7 février 2024.



4. Recommandations aux auteurs après acceptation des résumés

Après acceptation des résumés, les textes adressés seront présentés selon les normes suivantes :

-       Il s’agira exclusivement d’un document Word, avec 10 000 mots au maximum (la bibliographie comprise) ;

-       Le texte comportera une première page, non numérotée, où figureront le titre de la contribution (en gras et en lettres minuscules), les noms et prénoms de(s) l’auteur(s), le statut professionnel ou le grade, la principale institution d’attache, et l’e-mail (institutionnel de préférence). Tous ces éléments seront centrés ;

-       À partir de la nouvelle page (numérotée), l’on indiquera le titre de la contribution (centré, en gras et en lettres minuscules), un résumé de 150 mots au maximum, et une liste de 5 mots-clés, le résumé et la liste des mots-clés seront rédigés en français et en anglais) ;

-       La police de tout le texte (citations, références et notes de bas de page comprises) est Times New Roman ;

-       Toutes les marges sont de 2,5 cm ;

-       La taille de la police 12 est retenue pour tout le texte, les titres compris ;

-       L’alignement de tout le texte (y compris les titres) doit être justifié ;

-       L’interligne de tout le texte est de 1 ;

-       Les titres seront mis en lettres minuscules et en gras ; leur système de numérotation est le suivant : 1., 1.1., 1.1.1., 2., 2.1., etc.

Exemple : 3.2. Chatué et la notion d’appropriation ;

-       Le retrait positif de paragraphe est de 0,5 cm ;

-       Les espacements avant et après paragraphes sont de 7 pts ;

-       Les citations de moins de quatre (4) lignes entre guillemets et sans italiques dans le texte ; et celles de quatre (4) lignes et plus, en retrait d’un (1) cm à gauche et d’un (1) cm à droite, sans guillemets et sans changement ni de taille, ni de forme, ni d’interligne ;

-       Les références des sources citées sont à mettre entre parenthèses dans le texte, directement après la citation. Celles-ci ne comportent que le(s) prénom(s) abrégé(s) et nom(s) de l’auteur ou des auteurs, la date de publication et la page ou la plage de pages citée(s).

-       Exemples : (E. Morin, 2022, p. 17), (E. Morin, 2022, pp. 21-22), (K. Marx et F. Engels, 1848, p. 7), etc.

-       Bien vouloir associer des lettres à la date s’il y a plus d’un texte publié la même année par l’auteur cité et qui est utilisé dans la contribution. N’utiliser les expressions telles ibid., op. cit., idem, cf., et alii, infra, supra, etc. qu’en italiques et qu’en cas de nécessité ;

-       Réserver les notes de bas de page uniquement aux commentaires utiles ne pouvant être insérés dans le texte principal ;

-       La bibliographie, établie suivant l’ordre alphabétique, ne doit contenir que les sources effectivement utilisées, et doit respecter le modèle suivant :

       Pour les ouvrages : Nom (Prénom), Titre, Ville, Édition, Année.

Exemple : Bachir Diagne (Souleymane), L’Encre des savants : réflexion sur la philosophie en Afrique, Paris, Présence africaine éditions, 2013.

Exemple pour ouvrages collectifs : Tsalefac (Maurice), Chatué (Jacques) et Tsala Mbani (André Liboire) dir., Créativité socio-politique et réécriture de soi en Afrique. Mélanges offerts à Charles-Robert Dimi. Tome 1 : Commentaires et Témoignages, Yaoundé, Éditions Patrimoine, 2018. 

       Pour les articles : Nom (Prénom), « Titre l’article entre guillemets », Nom de la revue, n°, Ville, Édition, Année, pp. 17-31. 

       Pour les sources électroniques : Nom (Prénom), « Titre l’article entre guillemets », Nom de la revue, n°, www.url.com, date de consultation. 

5. Bibliographie indicative
5.1. Ouvrages de Jacques Chatué
-       En collaboration avec Félix Meutchieyé et Valère Djidéré, Introduction to Research Methodology. Principles. Approaches. Tools, coll. « Knowlege », Dschang, Dschang University Press, 2023.

-       En collaboration avec Félix Meutchieyé et Valère Djidéré, Méthodologie générale de la recherche. Principes. Démarches. Outils, coll. « Syllabus », Dschang, Dschang University Press, 2022, 171 p.

-       Les Stratégies du Cogitamus. Essai sur le concept de réticularité, Yaoundé, Les Éditions du Patrimoine, 2021, 160 p.

-       En collaboration avec Roger Mondoué, Marlène Sokeng-Fomena, Christian Toumba Patalé, Christelle Mezanou, et Romuald Dezo Mouafo, Introduction générale à l’épistémologie. Tome 1 : Notion d’Épistémologie et Éléments d’Épistémologie Régionale, coll. « Knowlege », sous coll. « Arts and Social Sciences », Dschang, Dschang University Press, 2020, 187 p.

-       L’Éthique de la recherche en 7 points. Approche déontologique et contextuelle, Préface de Jean-Emmanuel Pondi, Yaoundé, Les Presses Universitaires de Yaoundé, 2018, 169 p.

-       En codirection avec Maurice Tsalefac et André Liboire Tsala Mbani (dir.), Créativité socio-politique et réécriture de soi en Afrique. Mélanges offerts au Professeur Charles-Robert Dimi. Tome 1 : Commentaires et Témoignages, Yaoundé, Éditions Patrimoine, 2018, 298 p.

-       Épistémologie et sciences de développement. Questionnements sur une imposture théorique, Préface de Hubert Mono Ndjana, Yaoundé, CLÉ, 2014, 287 p.

-       En collaboration avec Roger Mondoué, Histoire de la logique. Logique classique intra- et interpropositionnelle. (History of Logic. Intra and Interpropositionnal Logic), Paris, L’Harmattan, 2014, 130 p.

-       L’Épistémologie d’Émile Meyerson. Éléments pour une réception politiste africaine, coll. « Problématiques Africaines », Paris, L’Harmattan, 2012, 224 p.

-       L’Afrique noire et le biais épistémologique, Yaoundé, CLÉ, 2012, 95 p.

-       Épistémologie et transculturalité : le paradigme de Lupasco (tome 1), Préface de Laurent Bove, coll. « Épistémologie et Histoire des sciences », Paris, L’Harmattan, 2010, 166 p.

-       Épistémologie et transculturalité : le paradigme de Canguilhem (tome 2), Préface de Laurent Bove, coll. « Épistémologie et Histoire des sciences », Paris, L’Harmattan, 2010, 186 p.

-       Senghor philosophe. Cinq études, Préface de Charles-Robert Dimi, Yaoundé, CLÉ, 2009, 163 p.

-       Basile-Juléat Fouda. Idiosyncrasie d’un philosophe africain, Préface de Philippe Laburthe Tolra, coll. « Études Africaines », Paris, L’Harmattan, 2007, 278 p.

5.2. Articles de Jacques Chatué
-       En collaboration avec Philippe Idris Tchoffo, « Le rôle de l’intellectuel dans le processus de la démocratie absolue chez Michael Hardt et Antonio Negri : Une lecture critique », in Cahiers de l’URPHISSA – Varia, Unité de Recherche de Philosophie et des Sciences Sociales Appliquées (URPHISSA), Université de Dschang, Mai 2022, n° 3, pp. 13-28.

-       En collaboration avec Daniel Joël Sikati, « Inscription hypermoderniste de la philosophie économique néolibérale de Friedrich August Von Hayek », in Cahiers de l’URPHISSA – Varia, Unité de Recherche de Philosophie et des Sciences Sociales Appliquées (URPHISSA), Université de Dschang, Décembre 2021, n° 1, pp. 11-27.

-       En collaboration avec Ulrich Albert Legrand Kom Nguifo, « Hegel, Senghor, et la mésestimation de l’intrincessité de la technique à l’art », in Cahiers de l’URPHISSA – Varia, Unité de Recherche de Philosophie et des Sciences Sociales Appliquées (URPHISSA), Université de Dschang, Décembre 2021, n° 2, pp. 13-36.

-       En collaboration avec Willie Stève Signe, « L’écopédagogie à l’aune de l’épistémologie. Lecture critique de Lucie Sauvé », in Revue Africaniste Inter-Disciplinaire (RAID), n° 14, Yaoundé, Éditions Monange, 2020, pp. 19-38.

-       En collaboration avec Christelle Élyse Mezanou, « Le rôle de l’illustration dans l’activité pédagogique : réflexion à partir de l’approche lakatosienne de l’illustration dans l’enseignement des mathématiques », in Issoufou Soulé Mouchili Njimom (dir.), Science et politique. Réflexion sur les fondements de la dynamique culturelle contemporaine, Paris, L’Harmattan, 2020, pp. 33-54.

-       En collaboration avec Willie Stève Signe, « Les assises épistémologiques de l’écopédagogie chez Lucie Sauvé : aubaine ou talon d’Achille ? », in American Journal of Humanities and Social Sciences Research (AJHSSR), 2020, Volume 4, Issue 10, pp. 137-144.

-       En collaboration avec Arlette Linda Amding Takoumbeng, « Francis Fukuyama et la question du transcendantalisme juridique - Francis Fukuyama and the Question of Legal Transcendentalism », in American Journal of Humanities and Social Sciences Research (AJHSSR), 2020, Volume 4, Issue 10, pp. 130-136. 

-       En collaboration avec Brigitte Djuidje Chatué, « Réflexions philosophico-juridiques sur les alternatives de l’appropriation africaine du droit », in Revue Africaniste Inter-Disciplinaire (RAID), n° 7, Yaoundé, Monange, 2019, pp. 171-184.

-       « Bible et science : un même combat », in Science et Religion : convergence ou antagonisme ?, Yaoundé, CLÉ, 2018.

-       « La vie privée : un concept équivoque au fondement de la philosophie des droits de l’homme », in Revue de la fondation Raponda-Walker pour la science et la culture, n° 8, 2018, pp. 711-725.

-       « Épistémologie et auto-constitution minimum d’un système universitaire : remarques sur la philosophie de la réforme universitaire au Cameroun » in Luc Ngwé et Hilaire De Prince Pokam (dir.), L’enseignement supérieur au Cameroun depuis la réforme de 1993 : dynamiques et perspectives, Dakar, CODESRIA, 2016, pp. 81-104.

-       « Sur le versant épistémologique de l’argumentaire éthique : lecture comparée de L’évolution créatrice d’Henri Bergson et du Phénomène de la vie de Hans Jonas », in Ébénézer Njoh Mouelle et Émile Kenmogne, Vie et éthique de Bergson à nous, Paris, L’Harmattan, 2015, pp. 199-212.

-       En collaboration avec Marlène Sokeng-Fomena, « La philosophie profonde de la nature d’Henri Bergson à l’aune de la philosophie cosmologique de Michel Serres », in Ébénézer Njoh Mouelle et Émile Kenmogne, Vie et éthique d’Henri Bergson à nous, Paris, L’Harmattan, 2015, pp. 213-224.

-       En collaboration avec Casimir Junior Egoué, « Edgar Morin et le traitement de la question écologique : une originalité aporétique ? », in Nka’ Lumière. Revue interdisciplinaire de la Faculté des Lettres et Sciences humaines », n° 13, du 1er semestre 2015, pp. 87-103.

-       « Qu’appelle-t-on vulgariser ? Éléments pour un bilan d’étapes des pratiques de vulgarisation en Afrique sub-saharienne », in Nká’ Lumière. Revue interdisciplinaire de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines, n° 12, 2014, pp. 83-106.

-       « Ébénézer Njoh Mouellé, ou la perspective d’une productivité de l’intelligence », in Ebénezer Njoh Mouellé, Penseur du développement et de la politique, Actes de la journée d’étude et d’hommage organisée par les Éditions CLÉ de Yaoundé le 31 octobre 2013, réunis et édités par Émile Kenmogne, Yaoundé, CLÉ, 2014, pp. 69-100.

-       « À propos de la réception extranéiste des transformations de la philosophie : remarques sur les « philosophies d’effets », in Ébénézer Njoh Mouellé (dir.), La philosophie et les interprétations de la mondialisation en Afrique, Paris, L’Harmattan, 2009, pp. 213-227.

-       « Hosties noire, ou l’idée de la mort offerte comme suspension », in Louis Bertin Amougou (dir.), La mort dans les littératures africaines contemporaines, Paris, L’Harmattan, 2009, pp. 31-47.

-       « À propos des philosophèmes mathématiques de Senghor », in Nka’ Lumière. Revue interdisciplinaire de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines, n° 4, 2006. pp. 315-350 ; et Éthiopiques. Revue négro-africaine de littérature et de philosophie, n° 79, 2ème semestre 2007, pp. 163-182.

-       « La bonne gouvernance et le réquisit d’expertise : de l’hypostase à l’appropriation », in « Dialogue et réconciliation », Revue scientifique bilingue, Dossier « Gouvernance locale : Au-delà de l’impasse. Quelle alternative ? », Vol. 3, n° 3, 2ème trimestre 2007, Yaoundé, éd. Sep et Sa’agraph, pp. 128-139.

-       « Le savoir scolaire et l’idéal de sagesse », in Michel Ngueti (dir.), Comment devenir quelqu’un, Yaoundé, Presses Universitaires de Yaoundé, 2007, pp. 116-121.

-       « Fabien Éboussi Boulaga, ou la dissidence par la norme », in Ébénézer Njoh-Mouellé et Émile Kenmogne (dir.), Philosophes du Cameroun, Yaoundé, Presses Universitaires de Yaoundé, 2006, pp. 297-316.

-       « Plaidoyer pour une épistémologie des sciences du développement », in Revue Sciences agronomiques et développement, vol II, n° 1, Juin 2003, p. 90-100. Reproduit in Revue Camerounaise des Sciences Appliquées, Yaoundé, 2006.

-       « À quand les états généraux de la santé au Cameroun ? La sonnette d’alarme du livre de Nicolas Monteillet : Le pluralisme thérapeutique au Cameroun. Crise hospitalière et nouvelles pratiques populaires, Paris, Karthala, 2005, 267 p. », in Terroirs. Revue africaine de sciences sociales et de culture, 1-2, 2006, pp. 157-168.

-       « L’idéal structural à l’épreuve de l’indigénisme épistémologique », in Intel’Actuel. Revue de Lettres et Sciences Humaines, N° 2, 2003, reproduit in Terroirs, Revue africaine de sciences sociales et de culture, n° 3/2005, pp. 81-98.

-       « Hommage africain à Paul Ricœur », in Journal Patrimoine, Yaoundé, juillet 2005.

-       « Senghor et la raison, ou l’idée d’un legs proprement philosophique du senghorisme théorique », in Marcelin Vounda Etoa (dir.), Le siècle Senghor, Yaoundé, Presses Universitaires de Yaoundé, 2003, pp 53-73.

-       « Sur la qualification épistémologique des philosophies de la nature », in Nka’ Lumière. Revue interdisciplinaire de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines, n° 2, 2001, pp. 100-119.

5.3. Notes de lecture, préfaces et autres
-       Préface à l’ouvrage Les astres dans les discours post-coloniaux, Sous la direction d’Alain Cyr Pangop et Joseph Ngangop, Paris/Yaoundé, L’Harmattan/CLE, 2015.

-       Préface à Basile-Juléat Fouda, La philosophie négro-africaine de l’existence. Herméneutique des traditions orales africaines, Paris, L’Harmattan, Collection Pensée africaine, 2013.

-       Présentation de l’ouvrage de Basile-Juléat Fouda, Esthétique littéraire négro-africaine, Paris, L’Harmattan, Collection Pensée africaine, 2008.

-       Manuel didactique : La dissertation philosophique comme projet logique. Approche typologique et sujets traité par types. En Annexe, une méthodologie de l’étude de texte en philosophie, Yaoundé, Imprimerie Africa Multi Média, 2004.

-       Note de lecture : « Lucien Ayissi, Corruption et gouvernance, Préface de Hubert Mono Ndjana, Yaoundé, Presses Universitaires de Yaoundé, 2003, 187 p. », in Journal « Patrimoine », Yaoundé, 2003.

-       Compte rendu : « Robert Damien (dir.) : L’expertise, Presses Universitaires Franc-Comtoises, Besançon, 2001, 348 p. », Paris, Revue de synthèse, août 2007.

-       « Des activités augurales dans l’étude de l’œuvre intégrale en philosophie », in Cahiers du Département de Philosophie, MINEDUC – P.U.Y, n° 4, juillet 1999, pp. 25-28.

-       « L’usage des exposés dans l’enseignement philosophique », in Cahiers du Département de Philosophie, MINEDUC – P.U.Y, N° 4, juillet 1999, pp. 53-58.

6. Comité scientifique
Louis Bertin Amougou (Professeur, Université de Dschang), Lucien Ayissi (Professeur, Université de Yaoundé I), Valentine Banfegha Ngalim (Maître de Conférences, Université de Bamenda), Sariette Batibonak (Professeur, Université Évangélique du Cameroun, S&D et CRÉDIS), Alain Roger Boulla Meva’a (Professeur, Université de Dschang et Université de Bertoua), Jacques Chatué (Professeur, Université de Dschang), Charles-Robert Dimi (Professeur, Université de Dschang), Alexandre Djimeli Tafopi (Maître de Conférences, Université de Dschang), Yves-Abel Feze (Maître de Conférences, Université de Dschang), Anatole Fogou (Professeur, Université de Maroua), Célestine Colette Fouellefack Kana épouse Dongmo (Professeur, Université de Dschang), Fomba Emmanuel MBEBEB (Maître de Conférences, Université de Bamenda), Robert Fotsing Mangoua (Professeur, Université de Dschang), Albert Gouaffo (Professeur, Université de Dschang), Adder Abel Gwoda (Maître de Conférences, Université de Maroua), Ismaïla Datidjo (Maître de Conférences, Université de Dschang), Émile Kenmogne (Professeur, Université de Dschang et Université de Yaoundé I), Jules Kouosseu (Professeur, Université de Dschang), Emmanuel Malolo Dissakè (Professeur, Université de Douala), Oumarou Mazadou (Professeur, Université de Yaoundé I), Charles Romain Mbele (Professeur, Université de Yaoundé I), Mbih Jerome Tosam (Maître de Conférences, Université de Bamenda), Gustave Georges Mboe (Maître de Conférences, Université de Dschang), Célestin Pierre Mboua (Maître de Conférences, Université de Dschang), Vivien Meli Meli (Maître de Conférences, Université de Dschang), Gustave Adolphe Messanga (Maître de Conférences, Université de Dschang), Honoré Mimche (Professeur, Université de Yaoundé II), Siméon Clotaire Mintoume (Professeur, Université de Douala), Roger Mondoué (Professeur, Université de Dschang et Université de Douala), Issoufou Soulé Mouchili Njimom (Professeur, Université de Yaoundé I), Joseph Ngangop (Professeur, Université de Dschang), Valentin Ngouyamsa (Maître de Conférences, Université de Dschang), Nkolo Foé (Professeur, Université de Yaoundé I), Jean-Émet Nodem (Professeur, Université de Dschang), René Aristide Rodrigue Nzameyo (Maître de Conférences, Université de Yaoundé I), Charles Ossah Eboto (Maître de Conférences, Université de Maroua), Nathanaël Owono Zambo (Maître de Conférences, Université de Yaoundé I), Clément Dili Palaï (Professeur, Université de Maroua), Alain Cyr Pangop Kameni (Professeur, Université de Dschang), Zacharie Saha (Maître de Conférences, Université de Dschang), J.-J. Rousseau Tandia Mouafou (Professeur, Université de Dschang), Joseph Teguezem (Professeur, Université de Dschang), André Liboire Tsala Mbani (Professeur, Université de Dschang), Aristide Yemmafouo (Professeur, Université de Dschang) et Williams Fulbert Yogno Tabeko (Maître de Conférences, Université de Dschang).

 
[1] Professeur Titulaire des Universités (Université de Dschang et Université de Douala, Cameroun).
[2] Chargée de Cours (Université de Dschang, Cameroun).
[3] Chargé de Cours (Université de Dschang, Cameroun).
[4] Docteur/Ph.D (Université de Dschang, Cameroun).