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Nouvelle parution
A. Trapiello, Suite et fin des aventures de Sancho Panza

A. Trapiello, Suite et fin des aventures de Sancho Panza

Publié le par Université de Lausanne

Andrés Trapiello

Suite et fin des aventures de Sancho Panza [El Final de Sancho Panza y Otras Suertes]

Traduction (Espagnol) : Serge Mestre

La Table Ronde

Quai Voltaire
Paru le 05/09/2019
EAN : 9782710378419
ISBN : 9782710378419

 

Un an après la mort de don Quichotte, c’est avec quelques inquiétudes que les plus fidèles compagnons du chevalier – son écuyer Sancho Panza, sa nièce Antonia, le bachelier Samson Carrasco et la gouvernante Quiteria – se mettent en route pour Séville. Samson s’est brouillé avec son père. Antonia fera le voyage enceinte. Quiteria partage de mauvaise grâce la compagnie de Sancho, qui laisse derrière lui sa femme Thérèse et leurs deux enfants. Les malveillances du notaire, M. De Mal, les vilenies des anti-quichottistes et les nombreux préparatifs pour se rendre aux Indes ne sont qu’une infime partie des pièges à déjouer avant la traversée à bord de La Favorita, qui leur réserve encore bien des surprises. C’est un miracle s’ils survivent à la tempête, aux pirates, aux voleurs et aux profiteurs avant de débarquer à Arequipa, où se poursuivent leurs aventures.

En 2004, Andrés Trapiello s’attelait à une tâche des plus quichottesques : écrire la suite de Don Quichotte de la Manche. Dix ans après, il récidive. Dans Suite et fin des aventures de Sancho Panza, les personnages de Cervantès continuent de côtoyer les siens, toujours à l’ombre du défunt chevalier qui leur sert de lanterne dans la tourmente.

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On peut lire sur en-attendant-nadeau.fr un article sur cet ouvrage :

"R.I.P. don Quichotte", par Pierre Senges (mis en ligne le 17 décembre 2019).

Andrés Trapiello est connu notamment pour avoir traduit Don Quichotte en espagnol – notre euphorie à l’avènement d’un nouveau Pierre Ménard doit être tempérée par la précision suivante : il s’agit du castillan moderne. Andrés Trapiello a tenté une autre pirouette ménardienne en s’inspirant, pour son espagnol, de la version française signée Aline Schulman : façon de rendre hommage à Borges, pour qui le Quichotte original semblait être une mauvaise traduction de l’anglais.