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Critiques, à vos diagnoses; lecteurs, à vos caresses : "toute la parole n'est qu'un visible et à la fois invisible morceau de corps", estime un personnage de Novarina. Plusieurs événements vont méditer une telle affirmation, ou sa réciproque, dans les semaines qui viennent. Ici on s'interroge sur le discours des organes, là sur la fabrique des corps. Ailleurs des Åuvres directement affrontées à cette relation sont à l'honneur : à Paris VII, on célèbre Whitman, chantre du body electric; à Cerisy, c'est sur Bernard Noël : le corps du verbe que l'on colloque, tandis que rue d'Ulm, on enquête sur Pinel et l'écriture de la folie. Et si la théorie littéraire n'était au fond qu'une branche de la physiologie ?