Maupassant et ses marques. Quelle(s) signature(s) pour les récits brefs ?. Soutenance de Claude Meyer (dir. J. Meizoz, Univ. de Lausanne)
Claude Meyer, candidat au doctorat ès lettres, soutiendra le 3 juin à 17h sa thèse intitulée :
"Maupassant et ses marques. Quelle(s) signature(s) pour les récits brefs ?"
Directeur de thèse :
Jérôme Meizoz Professeur, Faculté des lettres, UNIL
Membres du jury :
Jean-Marie Privat Professeur émérite, Université de Lorraine, France
Marie Eve Therenty Professeure, Université Paul-Valéry-Montpellier 3, France
Jacob Lachat Professeur, Université de Fribourg.
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Notice bio-bibliographique
Après une maturité en économie et droit obtenue en 1989 au Lycée cantonal de Porrentruy (JU), Claude Meyer a débuté des études de lettres (français, anglais et philosophie) à l’Université de Zurich et les a terminées à l’Université de Genève. Il s’est ensuite dirigé vers l’enseignement, débutant sa carrière en tant que professeur de français et d’anglais au Cycle du Renard au Lignon, dans la banlieue genevoise, carrière qu’il poursuit actuellement au Collège Calvin, toujours à Genève. Au cours de ses 25 années au DIP (Département de l’Instruction Publique), Claude Meyer a suivi des formations continues dans les domaines notamment de la médiation culturelle et de l’enseignement explicite. Il a également co-animé des groupes de formation d’enseignants. Désireux d’assurer une transmission, il accueille chaque année des stagiaires dans ses classes.
Inscrit depuis 2014 à la Faculté des Lettres de l’Université de Lausanne, il a publié plusieurs articles au fil de sa thèse, notamment dans la revue en ligne COnTEXTES. Il a également participé à des colloques à Lausanne, Metz, Montréal et Namur. Centrées principalement sur Maupassant, ses communications ont aussi porté sur Mérimée et sur la culture populaire dans le cadre de la démocratie, à travers un article, paru dans la revue Études de lettres, sur l’album « Répression » du groupe de hard rock Trust.
Tout en gardant des liens étroits avec le Canton du Jura, Claude Meyer vit à St-Cergue. À travers ses enseignements gymnasiaux, il réfléchit actuellement aux modes de didactisation de l’ethnocritique.