
Publié le par Faculté des lettres - Université de Lausanne
En 1891, Oscar Wilde exprime un voeu pour l’Angleterre : que nul ne jouisse de privilèges ou que tous jouissent du même. Là est la clé d’une vie épanouie, d’une société saine, où chacun, libéré du poids de la propriété, de l’obsession d’être riche ou de la crainte d’être pauvre, aurait le loisir de penser et de vivre le monde en artiste.
Est-ce là utopie ? Mais le progrès, c’est la réalisation des utopies.
O. W.