Publié le par Esther Demoulin
Il y a Paul et il y a monsieur Cézanne.
Il y a le père et la femme, le jardinier Vallier, le docteur Gachet et les écrivains Flaubert et Zola.
Tout un monde. Il y a les toits rouges sur la mer bleue, les mains, le sucrier, le chapeau, l’argent et les secrets.
Il y a les silences, épais.
Marie-Hélène Lafon est allée vers Cézanne comme on « va au paysage ».
À corps perdu.
Cet essai en est la trace éblouie.
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On peut lire sur en-attendant-nadeau.fr un billet sur cet ouvrage…