Publié le par Léo Mesguich
À la mort de la femme que j’aimais, un grand silence s’est fait. Notre conversation s’est interrompue, nos échanges quotidiens ont cessé, notre vie commune s’est rompue. J’ai dû apprendre à composer avec son absence, avec un vide que je pouvais sentir et même entendre, en moi et tout autour de moi. J’ai alors commencé à écrire.
Ce livre est né dans le deuil et l’a accompagné, mais il va au-delà. Retour sur un passé, il est devenu exploration d’un présent tendu vers l’avenir. Un présent porté par un désir, hérité pour une part de la personne aimée. (É. G.)