Editos
Actualités

"Une force qui va"

Publié le

"Le Président et le gouvernement ont décrété la fin du mouvement social. Ils ont voulu enterrer, par une parole aussi arrogante que ridiculement performative, la contestation populaire la plus puissante et la plus longue depuis 1968. Ils ont tenté de la dissoudre par l'intimidation, la provocation et la répression, le doute et les manoeuvres en tous genres. Aux 2500 arrestations ont succédé une guerre psychologique inédite et un bombardement médiatique, si obséquieusement manipulateurs qu'ils pourraient bien s'être retournés contre leurs instigateurs. (...) On a voulu prendre le peuple pour un enfant (..). Mais le peuple est adulte, responsable et légitime dans sa protestation. Ses enfants réfléchissent un peu plus et un peu mieux que bien des conseillers politiques". Lire la suite de ce billet que Pascal Maillard dédie notamment "aux amis vacataires". L"heure n'est pas à la résignation: voir l'agenda militant du mois de novembre et signer l'appel pour un référendum sur la réforme des retraites.