Édition
Nouvelle parution
K. E. Franzos, Namensstudien / Études de noms (A. Lüthi & O. Ansull, éd.)

K. E. Franzos, Namensstudien / Études de noms (A. Lüthi & O. Ansull, éd.)

Publié le par Matthieu Vernet

Compte rendu publié dans Acta fabula (janvier 2014, vol. 15, n° 1) : "Noms sans nécessité" par Matei Chihaia.

 

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Karl Emil Franzos, Namensstudien / Études de noms

Édition bilingue réalisée par Ariane Lüthi et Oskar Ansull

Hanovre : Hohesufer.com, 2012.

EAN 9783941513235.

160 p.

12EUR

Présentation de l'éditeur :

Karl Emil Franzos’ Aufsatz Namensstudien (1888) schildert die Zwangsvergabe von Nachnamen an Juden in Mittel- und Osteuropa gegen Ende des 18. Jahrhunderts. Den historischen, sprach- und literaturgeschichtlichen Kontext sowie die Aktualität dieses wichtigen Textes aus dem Werkkomplex der Reise- und Kulturbilder aus Halb-Asien erläutert Oskar Ansull in seinem Essay »Schall, Rauch, Schutz und Schild«. Anmerkungen, Bibliographie und Zeittafel liefern reiches Material zum Verständnis von Text und Autor, eine Dokumentation der Varianten der zweiten gegenüber der ersten Auflage gewährt Einblick in seine Arbeitsweise. Die Übersetzung durch Ariane Lüthi schließlich führt diesen Text zurück in das Land der Vorfahren Franzos’, die Frankreich verlassen hatten, um sich in Galizien niederzulassen.

Dans ses Études de noms (1888), Karl Emil Franzos décrit l’attribution forcée de patronymes aux Juifs, vers la fin du XVIIIe siècle, en Europe centrale et orientale. L’essai «Bruit, fumée, abri et enseigne» d’Oskar Ansull commente le contexte historique, linguistique et littéraire ainsi que l’actualité de ce texte qui figure dans l’œuvre Reise- und Kulturbilder aus Halb-Asien – Tableaux culturels et de voyage de la Semi-Asie. Outre des annotations, une bibliographie et une table chronologique – un riche matériel facilitant la compréhension du texte et de son auteur –, une documentation des variantes de la seconde édition par rapport à la première permet d’entrevoir la façon dont l’auteur travaillait. La traduction d’Ariane Lüthi transpose finalement ce texte dans la langue des ancêtres de l’auteur qui avaient quitté la France en 1770 pour la Galicie.