Essai
Nouvelle parution
Marinella Termite, Le sentiment végétal. Feuillages d’extrême contemporain

Marinella Termite, Le sentiment végétal. Feuillages d’extrême contemporain

Marinella Termite, Le sentiment végétal. Feuillages d’extrême contemporain. Préface de Marie Thérèse Jacquet, Macerata, Quodlibet, Ultracontemporanea, 2014.

ISBN 9788874626724

 

Pourquoi faire pousser un imaginaire végétal à l’époque de la rapidité et de l’immédiateté? Comment échapper aux pièges du virtuel et rendre solide la précarité? Loin d’une approche descriptive, symbolique ou fonctionnelle, la reconfiguration des ressources du végétal dans les lignes des écrivains d’aujourd’hui interroge de près le littéraire. Le sentiment végétal fleurit là où le vivant en danger ne peut se mettre à l’abri qu’en revenant au plus près de sa source. De l’herbier au bouquet, sans négliger l’impact avec les clairières, cette résistance met à l’épreuve la main verte de toute écriture. Elle explore sa capacité d’herboriser pour toucher l’authenticité de l’essentiel, garantie de la profondeur, propre au littéraire.      

 

 

Table des matières

 

Entre les feuilles de Marie Thérèse Jacquet

 I. Racines

 II. La main verte de l’écrivain

 III. Herbier

1. L’écorce ou le toucher

2. Les pétales ou l’odorat

3. Le vert ou la vue

4. Le verger ou le goût

5. Le frisson des feuilles ou l’ouïe

6. La lymphe de la lumière

 IV. Bouquet

    1. Les arbres-livres

    2. Plantes enracinées

             2.1. Acacia 2.2. Bouleau 2.3. Chêne 2.4. Hêtre 2.5. Magnolia 2.6. Néflier

    3. Plantes visionnaires

    4. Plantes scripturales

            4.1. Glycine 4.2 Flamboyant-Chêne-Glycine

    5. Plantes curieuses

    6. Plantes greffées

    7. Plantes thérapeutiques 

    8. Plantes vénéneuses

    9. Pour un bouquet sentimental   

 

V. Clairière

 VI. Branches

 Bibliographie

Parterre critique Allée des œuvres

 Index des noms

 


 Marinella Termite poursuit ses recherches sur la littérature française actuelle à l’intérieur du Groupe de Recherche sur l’Extrême Contemporain (GREC) de l’Université de Bari. Elle a, entre autres, publié L’écriture à la deuxième personne. La voix ataraxique de Jean-Marie Laclavetine, préface de Marie Thérèse Jacquet (Peter Lang, Berne 2002) et Vers la dernière ligne, préface de Marie Thérèse Jacquet (B. A. Graphis, “Marges critiques/Margini criticiˮ, Bari 2006).