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Appels à contribution

Inventer l'économie


Direction : Claire Pignol et Christophe Reffait


Partout la littérature invente, elle « invente d'inventer » comme dirait Aragon, dans les marges d'un fait ou d'une notion économiques qu'elle identifie ou non, qu'elle amende sans forcément le vouloir, qu'elle éclaire sans s'embarrasser d'explications. C'est la fécondité de cette invention que ce dossier voudrait évaluer. […] On montrerait que la littérature à la fois retrouve le concept économique et le déborde, que la théorie économique a partie liée avec l'invention fictionnelle, que la littérature déconstruit cette fiction, enfin que les notions sont en réalité le lieu d'une rencontre des représentations.


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   APPELS CLOS

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Littérature(s) pour des temps extrêmes : enjeux actuels de l'écopoétique


Direction : Jean-Christophe Cavallin et Alain Romestaing


Contre le dé-paysement de la pure textualité, une première écopoétique opérait un «tournant géographique» et réimplantait la littérature dans une esthétique du terrestre. Resituée dans l'univers de la perception, la littérature redevenait «ce qui a lieu» (Pierre Schoentjes). Fille des «années d'hiver» de l'écologie (Félix Guattari), cette première écopoétique ne faisait pas de politique. Le tragique environnemental invite aujourd'hui une seconde génération à conjoindre le souci de ce qui a lieu — dans un sens géographique — à l'urgence de ce qui a lieu — au sens historique de la tragédie infligée à la vie terrestre par les modes de production de notre modernité.


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Débattre d'une fiction


Direction : Marc Escola, Françoise Lavocat et Aurélien Maignant


De quelle nature sont nos jugements sur les fictions ? À quelles opérations se livre-t-on pour simplement en parler et très régulièrement en débattre ? Car la fiction n'est pas seulement l'objet d'une expérience individuelle vouée à rester silencieuse : elle est aussi ce dont on parle avec d'autres lecteurs ou spectateurs, ce qu'on partage à condition d'en débattre, de confronter des opinions et de soumettre un jugement à la discussion. Mais de quoi discourt-on au juste lorsqu'on s'interroge sur la conduite d'un être de papier, qu'on débat d'une situation fictive ou qu'on revient sur un dénouement arbitraire ? Dans nos échanges les plus quotidiens sur les fictions, peut-on seulement départager les propositions qui portent sur l'œuvre de celles qui portent sur le monde fictif, et les jugements sur la situation fictionnelle des jugements sur le monde réel ? Si le débat s'accompagne toujours d'une intervention sur la fiction, quels sont les enjeux éthiques ou politiques d'une telle ingérence ?

 

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Toucher au « vrai ». L'intelligence de la poésie


Direction : Jan Baetens et Annick Ettlin


Nous voudrions interroger et répertorier dans ce numéro diverses formes de savoirs, de vérités détenus et diffusés par la poésie, mais en soulignant d'emblée leur volatilité et leur instabilité, en supposant que les rapports entre poésie et savoir (ou vérité) sont pris dans des contextes, se construisent dans des discours et reposent sur des croyances.


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Situer la théorie : penséées de la littérature et savoirs situés (féminismes, postcolonialismes)


Direction : Cyril Vettorato et Marie-Jeanne Zenetti


Que se passe-t-il lorsqu'on interroge la théorie de la littérature à la lumière des pensées postcoloniales et féministes ? Dans ce prochain numéro de Fabula-LhT, il s'agira de proposer une relecture de certaines notions et concepts de théorie littéraire, de dresser un bilan des apports spécifiques des théories féministes et postcoloniales pour la lecture et les études littéraires, mais aussi d'interroger les possibles théoriques qu'ouvrent ces approches.


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La Mort de l'auteur


Direction : Romain Bionda et Jean-Louis Jeannelle


Cinquante ans après « La mort de l’auteur » de Roland Barthes qui proclamait une symétrique « naissance du lecteur », ce sont aux morts réelles et non métaphoriques des auteurs et autrices (tous arts confondus : bande dessinée, beaux-arts, chanson, cinéma, littérature, performance, télévision, théâtre, etc.), et à leurs conséquences sur la création et la réception des œuvres qu’entend s’intéresser ce numéro de Fabula-LhT. Les propositions de contributions peuvent relever de toutes les approches critiques.


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(Trans-)historicité de la littérature


Direction : Lise Forment et Brice Tabeling


Les histoires et théories littéraires que nous pratiquons s'appuient souvent sur la contestation de « régimes d'historicité » ou de transhistoricité antérieurs, mais cette critique ne nous décharge pas de la question du temps : il faut tenter de dire, positivement, le « régime de (trans-)historicité » que présupposent ou construisent nos manières de lire et de faire lire — déclarer le rapport au passé et à l'avenir qui se trouve ainsi promu. Les efforts que nous faisons, nous « littéraires », pour un partage actuel des textes du passé (ou pour un partage futur des textes du présent), impliquent une forme d'engagement sur ces questions-là, engagement motivé par des considérations pédagogiques, épistémiques, éthico-politiques.


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Un je-ne-sais-quoi de « poétique » : l'idée de poésie hors du champ littéraire


Direction : Nadja Cohen et Anne Reverseau


Si les références empruntées à d’autres arts pour qualifier la poésie sont aujourd’hui amplement étudiées, la réciproque est loin d’être vraie. Une réflexion sur les usages du terme « poétique » hors du champ littéraire reste à faire. Que signifie en effet un tel adjectif lorsqu’il s’applique aux domaines de la peinture, du cinéma, de la danse, aux mass media ou même à la publicité ? Ces usages s’expliqueraient-ils uniquement par l’extension du terme poiesis à l’ensemble de la création ou par la large acception que les romantiques ont conférée à la poésie ? Cet héritage historique suffit-il à rendre compte de l’extraordinaire essor du terme « poétique » hors du domaine littéraire ?


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 Les Conditions du théâtre – le théâtralisable et le théâtralisé


Direction : Romain Bionda


Injouable, irreprésentable, infaisable, impossible… : autant de qualificatifs auxquels on a fréquemment recours pour exprimer l’inadéquation d’un objet (un texte, un motif, une idée) avec la scène de théâtre — du moins la scène telle qu’on se la représente. L’ambition du présent volume de Fabula-LhT est de réfléchir aux conditions du théâtre en s’émancipant des notions de « possible » et de « représentable », au bénéfice d’un autre concept dont la théorisation reste à entreprendre : le théâtralisable.


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Le Moyen Âge pour laboratoire


Direction : Florent Coste et Amandine Mussou


En quels termes un homme médiéval pourrait-il bien décrire une œuvre littéraire du XVIIe siècle, du XXe siècle ou du début du XXIe siècle ? C’est sous la forme d’une telle expérience de pensée que ce numéro voudrait articuler le médiéval et l’ultérieur, en particulier le moderne et contemporain, en faisant le pari que l’homme médiéval ne serait pas totalement à cours de mots face à une œuvre qui lui est, aux yeux de l’historien, amplement postérieure.


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Pierre Ménard, notre ami, et ses confrères


Direction : Arnaud Welfringer


La théorie littéraire est-elle ménardienne ? Rares sont les théoriciens qui, à un moment au moins, n'ont pas pensé la littérature avec Pierre Ménard, cet écrivain imaginaire que Borges crédite d'avoir produit, entre autres choses, une œuvre radicalement nouvelle en récrivant à l'identique quelques chapitres de Don Quichotte. Le « paradoxe de Ménard » a servi à poser la plupart des questions de la théorie littéraire : l'autorité de l'auteur, l'intertextualité, les genres littéraires, la lecture et l'interprétation, l'identité des œuvres et des textes, la notion de contexte, la traduction... On voudrait ainsi consacrer une livraison de Fabula-LhT aux usages théoriques de ces êtres de fictions dont Pierre Ménard est le meilleur représentant, voire le chef d'école.


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