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« Tout est traduction. » Ou presque. Ou rien n’est traduction

« Tout est traduction. » Ou presque. Ou rien n’est traduction

Publié le par Alexandre Gefen (Source : Georgiana Lungu Badea)

« Tout est traduction. » Ou presque. Ou rien n’est traduction

 

Conférence et Journée d’études

 

 

Mercredi, le 14 décembre 2011, à partir de 15 heures, Salle de conférences de la Bibliothèque Centrale Universitaire « Eugen Todoran », les Centres d’études francophones DF et ISTTRAROM-Translationes, Faculté des Lettres, Histoire et Théologie (Université de l’Ouest de Timisoara, Roumanie) en collaboration avec B.C.U.T. « Eugen Todoran », vous invitent à l’examen des rapports particuliers entre la parole et la traduction.

Si l’interprétation a pour fonction d’expliciter l’implicite, d’élucider le sens d’une oeuvre, d’un texte, d’une peinture ou d’un acte, sa nécessité incontestée dérivant du fait qu’elle comble un déficit de sens sans qu’elle se limite toutefois à simplement expliquer, la traduction – loin d’ajouter aux intentions psychologique et sémantique – donne vie interlingualement, sans se mettre elle-même (donc le traducteur) au-devant de la scène. Car le traducteur, comme le comédien, n’est qu’un personnage qui incarne l’auteur.

La conférence d’Antonio Rinaldis, « Il n’y pas de faits, seulement des interprétations » ; mais il y a aussi des faits. Le problème de la réalité dans le langage, suivie d’autres interrogations en marge de la théorie de traduction, du fait que l’interprétation (traduction mentale y comprise) appelle toujours l’interprétation (verbalisation du pensable), compléteront le programme de la journée d’études doctorales Tout est traduction. Ou presque. Ou rien n’est traduction

 

Conférence inaugurale

Modérateur : Georgiana Lungu-Badea

 

15h : Antonio Rinaldis (Université Catholique de Milan), « Il n’y pas de faits, seulement des interprétations » ; mais il y a aussi des faits. Le problème de la réalité dans le langage

 

Journée d’études

Mots, choses, traduction(s), Diana Motoc (Université « Babes-Bolyai » de Cluj-Napoca), Raluca Radac et Valentina Shiryaeva (Université de l’Ouest de Timisoara)

Conditions de possibilités du logos et de la traduction, Bianca Constantinescu et Lucia Udrescu (Université de l’Ouest de Timisoara)

Du monolinguisme de l’auteur au monolinguisme du traducteur, Neli Ileana Eiben (Université de l’Ouest de Timisoara)

Les chemins de la traduction. De la pensée à la parole, ensuite à la traduction (parole traduite), Georgiana Lungu-Badea (Université de l’Ouest de Timisoara)