Référence bibliographique : Studii si cercetari filologice. Seria Limbi Romanice , Editura Universitatii din Pitesti, 2017. EAN13 : 18433979.
Studii si cercetari filologice. Seria Limbi Romanice
n°22/2017 : Emetteurs et récepteurs
Parution novembre 2017
Editura Universităţii din Piteşti
ISSN 1843-3979
La revue «Studii si cercetari filologice. Seria limbi romanice » (« Etudes et recherches en philologie. Série langues romanes ») est une publication bi-annuelle qui accueille des travaux originaux dans le domaine des études littéraires et linguistiques, en français, espagnol, portugais et italien. Initiée en 2007 par un groupe d’enseignants et chercheurs provenant du Département de Langues Romanes, personnes qui ont constitué par la suite le comité rédactionnel, la revue est placée à partir de 2009 sous le patronage de L’Ecole doctorale de la Faculté des Lettres de l’Université de Pitesti, restant toutefois un organisme totalement indépendant, avec une politique rédactionnelle et éditoriale gérée uniquement par le comité rédactionnel. Notre revue s’inscrit dans une longue tradition universitaire et jouit de collaborations prestigieuses. Notre publication se veut un espace de convergences des idées, réunissant dans une égale mesure des approches théoriques et analytiques, internationales et interculturelles.
Sommaire
ÉMETTERURS ET RÉCEPTEURS
Etudes
Alis-Elena BUCUR, La réception du roman libertin, p.7
Diana-Adriana LEFTER, Construction et déconstruction du lecteur idéal dans El Túnel de Ernesto Sábato, p.15
Maria-Rosa LEHMANN, « La seule relation avec le public dont on ne se repente jamais ; c’est la guerre » - le surréalisme, son exposition et son public, p.27
Anastasiia LEPETIUKHA, Jeu linguistique lecteur → auteur comme instrument d’interprétation des structures synonymiques dans la prose française contemporaine, p. 45
Guilioh Merlain VOKENG NGNINTEDEM, Réception de Chester Himes dans les champs littéraires americain et français, p. 56
Comptes-rendus
Juliette ARMAND, Mythe et comédie dans la littérature française, par Diana-Adriana Lefter, p. 70