Essai
Nouvelle parution
S. Harel, Les passages obligés de l'écriture migrante 1

S. Harel, Les passages obligés de l'écriture migrante 1

Publié le par Julien Desrochers

Simon Harel, Les passages obligés de l'écriture migrante, Montréal, XYZ éditeur (coll. "Théorie et littérature"), 2005, 252 p.

ISBN13 : 978-2-89261-424-4

 Présentation de l'éditeur:

À la suite de la publication du Voleur de parcours en 1989, Simon Harel propose ici un bilan critique des «années migrantes» de la littérature québécoise. Par l'étude des écrits du mouvement Vice versa, de Naïm Kattan, Régine Robin, Antonio D'Alfonso et Émile Ollivier, il met un terme aux discours stéréotypés sur l'errance et l'exil. Dans ce projet, il offre une lecture attentive des phénomènes d'habitabilité et de localisation qui ont été négligés dans l'interprétation de l'écriture migrante. L'exploration des modalités contemporaines de l'énonciation du lieu habité démontre l'émergence de nouvelles hybridités qui posent les assises d'un imaginaire territorial actualisé.


Selonce que nous apprennent les oeuvres de la littérature migrante desdernières années, il n'y a pas d'écriture sans la relation intime à unlieu qui ait d'abord été habité ou habitable. L'exploration desmodalités contemporaines de l'énonciation du lieu habité démontrel'émergence de nouvelles hybridités qui posent les assises d'unimaginaire territorial actualisé.




Finaliste au prix Victor-Barbeau de l'Académie des lettres du Québec (2006)