Essai
Nouvelle parution
O. Belin, Le Coin des poètes. L'expression poétique dans les journaux lycéens

O. Belin, Le Coin des poètes. L'expression poétique dans les journaux lycéens

Publié le par Alexandre Gefen (Source : Brigitte Peltier)

Olivier Belin, Le Coin des poètes. L’expression poétique dans les journaux lycéens

 

Préfaces de Patrice Corre, Emmanuel Hoog et Michel Jarrety

Paris : Éditions Pippa, 2013.

EAN 9782916506517

180 p.

Prix 22EUR

Présentation de l'éditeur :

Vous voulez lire de la poésie contemporaine ? Alors ouvrez un journal lycéen. Telle pourrait être, en raccourci, la leçon de ce livre, fruit d’un travail de recherche mené sur les journaux scolaires conservés par le Centre de Liaison de l’Enseignement et des Medias d’Information (CLEMI). L’analyse exhaustive de ce fonds sur la période 2008-2011 révèle en effet un constat inattendu : près d’un quart des titres lycéens a ouvert ses colonnes à la poésie. C’est dire qu’à sa manière, cette presse généraliste, communautaire et participative est l’une des dernières à réserver un espace médiatique à la poésie – à abriter un « coin des poètes », selon un titre de rubrique fréquemment utilisé...

Avec une précision et une bienveillance qui n’excluent pas une pointe de distance et d’humour, Le Coin des poètes nous invite à découvrir une production poétique à la fois souterraine, féconde et déroutante – bousculant par là même bon nombre d’idées reçues sur la poésie aussi bien que sur les jeunes.

 

Sommaire

 

Le trésor du 391 bis

 

1. Le journal lycéen

1.1. Un cadre médiatique spécifique

1.2. Les caractéristiques du journal lycéen

1.3. Pourquoi le journal lycéen ?

 

2. La place de la poésie

2.1. Quelle diffusion ?

2.2. Quelle situation ?

 

3. Pourquoi un poème ?

3.1. Raisons d’écrire

3.2. Un désir d’expression

 

4. La poésie lycéenne : un mauvais genre ?

4.1. Un genre de prédilection

4.2. Un genre à redéfinir

4.3. Un mauvais genre, une bonne élève

 

5. Poésie et vérité

5.1. Une poésie transitive

5.2. L’ancrage dans la vie

 

Conclusion