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"Expansion, autonomisation, dévalorisation" : tel serait, selon William Marx et son Adieu à la littérature, le mouvement global qui aurait affecté l'espace littéraire entre le XVIIIe et le XXe siècle. Une thèse que l'on confrontera avec d'autres réflexions contemporaines (Schaeffer, Rancière, Badiou, etc.) sur la pertinence actuelle de la notion d'esthétique lors des deux prochaines séances du séminaire Fabula à l'ENS : à un panorama général intitulé "L'autonomie du littéraire en question (à propos de quelques débats contemporains)" présenté le lundi 9 janvier par Alexandre Gefen suivra le 16 janvier un débat avec William Marx et ses propositions d'analyse de la "dévalorisation de la littérature" moderne.