Colloque Per /ec /pignan Samedi 4 mai 2002
Organisé par le CML (Centre Méditerranéen de Littérature)
et coordonné par André Bonet et Marc Parayre.
Célébrer cet écrivain inclassable, multiforme, amoureux des lettres et des mots,
Marquer le vingtième anniversaire de sa mort,
Lire, relire et relier des textes qui permettent une approche toujours renouvelée.
Intervenant Sujet Heure Temps(communication+ questions)
Ouverture : présentation des participants 14 h 20mn
Marcel Benabou « Ce repéré Perec » 14 h 20 40mn
Bernard Magné « Autour de La poche Parmentier » 15 h 40mn
Pause 15 h 40 20mn
Marc Parayre « Autour de La Disparition » 16 h 40mn
Table ronde avec Paulette Perec et lensemble des participants 17 h 40mn
Paulette Perec, ancien conservateur en chef à la Bibliothèque Nationale de France, a récemment coordonné et publié une biographie à plusieurs mains de lécrivain : Portrait(s) de Georges Perec. Elle a été lépouse de G. Perec.
Marcel Benabou, professeur à lUniversité de Paris VII, est historien. Membre de lOulipo il en est le « secrétaire définitivement provisoire » , il a collaboré à de nombreux travaux décriture avec G. Perec dont il était lami. Il a publié plusieurs articles sur lécrivain ainsi que des ouvrages détudes historiques ou de fiction, entre autres : Pourquoi je nai écrit aucun de mes livres ; Jette ce livre avant quil ne soit trop tard ; Jacob, Ménahem et Mimoun. Une épopée familiale ; Ecrire sur Tamara.
Bernard Magné est professeur de littérature contemporaine à lUniversité de Toulouse le Mirail. Spécialiste reconnu de G. Perec, il a publié de nombreuses études sur ses ouvrages, notamment : Perecollages ; Cahier des charges de la Vie mode demploi ; Georges Perec. Il a en outre participé à lélaboration dun logiciel décriture à partir des créations de Perec et Queneau : Machines à écrire.
Marc Parayre est enseignant-formateur à lI.U.F.M.et chargé de cours à lUniversité de Perpignan. Il a soutenu une thèse sur La Disparition de G. Perec et il est co-auteur de la traduction espagnole de ce roman : El Secuestro (Prix Stendhal de traduction 1998).