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Littérature et philosophie : repérages critiques (Nador)

Littérature et philosophie : repérages critiques (Nador)

Publié le par Romain Bionda (Source : Farid Lamrini-coordonnateur du colloque)

Royaume du Maroc

Université Mohamed Premier – Oujda

Faculté pluridisciplinaire de Nador

 

  • Colloque international sous le thème :

Littérature et philosophie : Repérages critiques

Nador : 03-04 Mai  2017

 

     Le département des études arabes et le département des études françaises à la faculté pluridisciplinaire de Nador, organisent un colloque international sous le thème : Littérature et philosophie : Repérages critiques.

- Mercredi et Jeudi, 03-04 Mai 2017.

 

  • Argumentaire

      

       La question du rapport entre  littérature et philosophie n’a pas cessé de soulever dans divers champs scientifiques, des problématiques de toute nature.Sans doute, cette thématique tellement sensible au niveau épistémologique, exige des révisions continues et des lectures renouvelables, non seulement parce que ce rapport n’arrête pas de nous surprendre par un nombre de donnés inconnues jusqu’alors, et de nous solliciter à nouveau, mais aussi car il s’agit d’un sujet qui se situe justement au cœur des questions critiques planant autour de toutes les préoccupations scientifiques et méthodologiques d’un grand nombre de sciences humaines contemporaines, dans leurs jonctions avec la création littéraire et la production philosophique. Et c’est en partant de cette hypothèse que le comité scientifique du colloque, vous propose d’y intervenir.

     Le philosophe œuvre d’habitude avec un dispositif conceptuel rigide et purement abstrait, tout comme le poète qui utilise  tout un système d’images, de signes et de symboles, que l’imaginaire ne cesse de pousser vers un glissement et une intensification de sens sans limites, ou plutôt comme le romancier ou dramaturge qui œuvre par un monde de personnages narratifs, qui traversent leurs esprits à l’intérieur d’un espace et d’un temps qui cheminent entre le sujet, la réalité et l’imagination.

     Pendant la civilisation antique grecque, les philosophes sophistes ont usé avec éloquence de tous les arts du discours, et ils sont arrivés à être des rhétoriciens professionnels par excellence. Aristote pour sa part, a modalisé toutes les règles logiques et linguistiques, qui ont fait de la métaphysique une haute science, régissant par là, toutes les orientations littéraires classiques au Moyen Age et même au début des Temps Modernes. Et Platon qui a banni les poètes de sa cité idéale, n’a pas cessé, à travers son maître Socrate, de structurer son système, en se basant sur les arts du dialogue, outre les techniques de la dialectique, tout en se référant à un patrimoine riche de narrations, de mythes et d’épopées.

     Il existe à l’intérieur des œuvres littéraires, des personnages et des sujets qu’on ne peut appréhender au niveau esthétique, ni avoir l’accès à leurs espaces humains et linguistiques si secrets et si cryptés ,que si nous les concevons en tant que sujets littéraires qui jouissent d’une forme conceptuelle émanant d’un ensemble de contextes et de circonstances psychologiques, physiques et sociales, nous basculons par la suite vers un sujet sublime et purement transcendantal.  

      Dans une optique méthodologique différente, mais qui nous amène au même horizon esthétique, il se trouve dans les œuvres philosophiques, des pensées profondes et bien investies dans l’abstraction, sur le sujet, l’esprit, l’existence, l’Homme et l’histoire qu’on ne peut jamais démystifier les présupposés ni décoder les intentions ontologiques, que dans un appareil conceptuel bien fondé par un cheminement illusoire et bien ficelé au niveau logique, rationnel, sémiotique et argumentatif.

     Dans la question du rapport entre littérature et philosophie, il s’agit en effet de deux approches sublimes de la vie et de l’existence qui pénètrent chacune d’elles à l’intériorité  par la voie du langage. Seulement que la deuxième  y accède par voie conceptuelle, tandis que la première intervient au niveau de la rhétorique et de l’imaginaire. A chaque pas de l’approche de la littérature ou de la philosophie, de l’existence et de la vie, on se trouve toujours d’avantages à coté d’une nouvelle conquête de l’esprit et du sujet, à partir d’un angle nouveau et dans des contextes rituels auxquelles on n’avait jamais pensé au passé. Dans ce sens, la littérature et la philosophie sont indéniablement deux pionniers innovants du langage. Dans l’histoire de la littérature et de la philosophie, il y a toujours des rapports subtils entre le discours contemplatif, conceptuel, et le discours poétique, surréaliste, et symbolique en général. En effet, il s’agit pour les deux interventions de l’esprit, d’un appel partenaire profond à la recherche d’un ensemble d’archétypes existentiels très fins de l’être social, provenant de la vie quotidienne d’une part, et de l’histoire des deux disciplines d’autre part, avec un attachement supplémentaire pour la philosophie.

Ce parachèvement incontournable se situe entre une trilogie référentielle permanente : - Le Moi -Le Monde et le Langage.

     F. Nietzsche attire notre attention à cette parenté intime entre philosophie d’une part, l’art et la littérature d’autre part en disant :

« Grand embarras de savoir si la philosophie est un art ou une science. C’est un art dans ces fins et sa production. Mais le moyen, la représentation en concepts, elle l’a en commun avec la science. » .

     René Descartes, à son tour, nous éclaire sur cette parenté, comme suit :

« Ce serait peut être surprenant de savoir que les idées profondes existent dans les écrits des poètes  plus que dans les écrits des philosophes. ». Et Jean Val disait aussi : «  En effet, il n y a pas une différence fondamentale entre la philosophie et la poésie ; je dirai même que la philosophie ne se limite pas à elle-même, car elle existe chez les poètes et les grands dramaturges, comme chez les philosophes. » 

     Dans ce sens strict, on peut dire que la philosophie est l’enveloppe conceptuelle emblématique qui règne autour de toutes les couleurs, toutes les émotions, toutes les métaphores profondes du discours littéraire et artistique, en leur offrant une sublimation existentielle exclusive. Et c’est dans ce sens même que la philosophie représente la teinte métaphysique du langage littéraire dans ses transfigurations subjectives et profondes. C’est la raison même  qui fait que toutes les grandes œuvres de la littérature mondiale sont celles qui ont su métaphoriser les concepts philosophiques en un sens d’inspiration pour toutes les cultures et toutes  les civilisations du monde, si diversifiées soient elles.  

     Le rapport entre  la littérature et la philosophie a connu dans divers moments de l’histoire une vive tension. Et en effet, c’est surtout avec le positivisme et les philosophies scolastiques que cette tension est bien flagrante.    Mais, le modèle le plus célèbre est celui de Platon qui a banni catégoriquement la poésie et les poètes, pour lui, dupeurs de la vérité, et ennemis de la méditation métaphysique, de la raison et du savoir logique.

     Et en effet, nous trouvons dans le patrimoine littéraire français un contre modèle de l’opinion platonicienne qui valorise l’inspiration à l’encontre de la méditation philosophique, sans faire allusion à la philosophie. Il s’agit de Victor Hugo qui dit ceci :

« La composition poétique résulte de deux phénomènes intellectuels, la méditation et l’inspiration. La méditation est une faculté ; l’inspiration est un don. Tous les hommes jusqu'à un certain degré, peuvent méditer : bien peu sont inspirés ».  

     Parfaitement dans la voie platonicienne, nous trouvons à l’intérieur du patrimoine philosophique arabo-musulman, cette antipathie à l’égard de la poésie. C’est ce qu’exprime Avicenne :

« La poésie doit œuvrer de l’imagination pour atteindre ces fins, c’est-à-dire l’accès à l’âme. (..).Et si on dispose de l’élément imaginaire, peut importe que le contenu est sincère ou factice, tout en sachant que se sont les paroles factices qui dominent la nature de la poésie. ».

     Il est certain que ce sont les soufis qui ont déployé les plus grands efforts pour revaloriser l’imaginaire arabe, à travers une relecture spirituelle innovante des significations esthétiques de la connaissance divine et humaine musulmane.   Et il est certain également que le soufisme comme nouvelle philosophie de l’esprit, était une source indéniable de révélation pour quelques expériences artistiques de haut niveau, dans l’histoire de la littérature arabe classique et moderne.

     Dans le but de disposer et de déconstruire le rapport complexe entre littérature et philosophie, on doit toujours se rendre compte de ce fil conducteur, ou plutôt cet espace qui unit leurs aspirations et leurs optiques communes, plus que de nous intéresser à la ligne de démarcation qui les sépare, sans négliger évidemment, la différence radicale de leurs méthodes et outils de travail. En fait, ce fil conducteur est l’écriture au sens strictement contemporain, comme intervention existentielle dans le monde, via le sujet .C’est sans doute, ce qui rassemble les philosophes, les créateurs littéraires et les artistes, en dépit des différences de ses formes, de ses rites et de ses moyens, dans leurs représentations subjectives exclusives.

     Il y a d’innombrables grands écrivains qui ont vécu des expériences modèles où se mêlent littérature et philosophie d’une manière distinctive. L’écriture en ce sens, dans ce contexte symbolique bien déterminé, est l’équivalent de l’identité de la créativité et de l’innovation, non pas l’équivalent d’une science ou discipline ou art bien défini. En un mot, l’écriture n’a pas de frontières épistémologiques stables.   

     Il s’agit dans ce sens d’une intervention ou d’un passage ontologique dans l’intérieur de l’Etre et de l’existence, ce qui n’est acquis que pour ceux qui sont aptes à réaliser un haut niveau de transcendance gnoséologique. Et Sartre, dans ses essais Situations, notamment dans Qu’est-ce que la littérature ?,  n’est pas loin de nous éclairer sur ce point en signalant que :

« L’écrivain n’est pas un écrivain parce qu’il a choisi de parler de quelques choses, mais parce qu’il a choisi d’en parler d’une manière différente. ». Nous remarquons également chez l’écrivain marocain Abdelkebir Khatibi cette orientation esthétique et ontologique, inspirée par ce mélange existentiel entre, littérature, activité artistique, et philosophie, dans sa conception de l’écriture :

« L’écriture et ses manières forment en elle même un ensemble de prise de positions analysables sur des niveaux différents envers les êtres et les choses, outre des prises de positions vis-à-vis de l’écriture elle-même (...). Je ne me considère pas en tant que penseur, ni philosophe, ni même un critique, même si j’use quelques fois un concept philosophique ou d’autre. Mais j’essaie d’aller vers le poème. »  

     En fait, le concept d’écriture est devenu aujourd’hui un choix préféré de beaucoup d’auteurs, philosophes, et théoriciens de l’œuvre artistique et littéraire, surtout depuis  cinquante ou soixante années passées, avec l’arrivée triomphante de ce champs critique qui a porté le nom d’études culturelles.

     Certainement, tous les phénomènes littéraires, voire tous les courants artistiques et critiques immanents, sont attachés à un certain profil philosophique. Nous dirons même que nous ne pouvons jamais approcher cet héritage, si diversifié et si complexe, sans un retour irréversible à la source philosophique qui émane de son langage, de ses rituels linguistiques et sémiotiques, et de son empreinte spirituelle et esthétique. En fin de compte, il s’agit d’un système bien ficelé qui se compose de tous les penchants subjectifs de l’écrivain ou de l’artiste, penchants qui se glissent subrepticement au texte en tant que représentations conscientes ou inconscientes, plus ou moins philosophiques qu’on doit démystifier ou décrypter.   

     Nul doute que la littérature, pour sa part, est fortement présente à l’intérieur des textes philosophiques. Il est certain aujourd’hui, avec la nouvelle vague épistémologique de la transdisciplinarité, basée sur ce point bien déterminé autour d’une conception optimiste, autour d’un rapprochement profond entre littérature, philosophie et sciences humaines, que la littérature représente une source riche des tendances théoriques et ontologiques des philosophes. Il suffit de faire allusion pendant les Temps Modernes à Nietzsche qui voit en la poésie l’accès le plus profond à la pensée, lui qui se distingue de son langage philosophique fragmenté et plein de métaphores et de symboles. De même, Martin Heidegger aussi avec ses préoccupations ontologiques pour comprendre les secrets existentiels du langage, outre son attachement intime aux poètes de son époque, ou G. Lukacs et E. Bloch, le premier passionné par la production romanesque et le deuxième philosophe de l’utopie et écrivain d’une prose exceptionnelle ramifiée de surréalisme et de symbolisme apocalyptique. Enfin, Friedrich Schlegel qui se montre le philosophe allégorique le plus doué d’une poésie : il se réclame transcendantal.

En effet on peut avancer que les littéraires en général, et les poètes en particulier, mieux que les philosophes, ont des compétences considérables à démystifier les grandes idées philosophiques tellement rigides et figées.

     Ceci dit, on croit que quant à l’analyse du rapport littérature/philosophie, on doit partir d’une vision plus vaste et plus équitable. Et il existe à cet égard deux orientations dominantes :

1-Primo, il s’agit d’une tendance à relativiser la philosophie en un arrière plan de la littérature et des œuvres littéraires ;

2-Secundo, il s’agit de minimiser l’essence du patrimoine littéraire à des simples reflets, ou tout au plus, à des éclairages esthétiques plus ou moins féconds des grandes idées et concepts philosophiques.

     Loin de ces deux tendances, notre colloque ne vise pas du tout une recherche des potentialités offertes pour atteindre un archétype textuel philosophico-littéraire, ou bien dissoudre toutes les frontières entre les deux activités ou disciplines ; car ce genre de présence partenarial côte à côte n’est qu’une forme parmi d’autres de ce rapport complexe que nous appelons à déconstruire.

     Ce colloque vise justement de mettre au clair les carrefours de cette rencontre souvent discrète entre littérature et philosophie, et par là aller vers l’exploration des présupposés protocoles et paramètres sous-jacents qui gèrent conceptuellement, linguistiquement et esthétiquement cette rencontre.

     Cet argumentaire, ainsi problématisé, a amplement l’intention d’étayer une approche et une analyse de plus en plus consciente de ce rapport énigmatique, en partant des questions suivantes :

-  Quelles sont les formes littéraires de la philosophie ?

-Quelles sont les formes philosophiques de la littérature ?

-Quels sont les processus a travers les quels les courants et les grandes idées philosophiques affectent les contenus et les tendances linguistiques, artistiques et esthétiques des œuvres littéraires ?

- Quels sont les contextes subjectifs et objectifs a travers les quels les orientations créatives des genres littéraires gardent un empreint sur les dispositions conceptuelles particulières des philosophes ? 

- Jusqu’à quel point on peut avancer que les critiques et les historiens sont suffisamment attentifs à ce rapport complexe entre littérature et philosophie, soit ceux qui opèrent dans le domaine de la critique littéraire et artistique, soit ceux qui traitent l’histoire de la philosophie et se préoccupent des dissertations purement théoriques ?

- Est-ce qu’il y a vraiment des critères plus ou moins confiants, qui sont aptes, épistémologiquement parlant, à dresser un paradigme, pour avoir un accès au contenu philosophique de la littérature et vice versa ?

- Est-ce qu’on a le droit de dire que le langage représente le code secret a travers lequel un philosophe accède à la littérature, ou un créateur de lettres pénètre dans le monde de la philosophie ? En d’autres termes, est ce qu’il est concevable qu’un concept philosophique tellement rigide, systématique au niveau théorique, se transforme en métaphore, et que celle-ci, bien symbolique et fragmentée, se métamorphose en un système d’idées qui revêtent des formes et des couleurs qui échappent à l’entendement et à la perception ?   

- Si on admet que la littérature comparée aujourd’hui, surtout dans quelques-unes de ses approximations méthodologiques, institutionnalisées par les efforts critiques des études culturelles, a  élargi le champs de la comparaison, en ce sens qu’il s’agit davantage du rapport entre la littérature, les arts et les diverses productions culturelles et symboliques, peut-on être confiant pour avancer une conception théorique sur la quelle se base un champ scientifique nouveau qui s’intéressera probablement de toutes les formes comparatives entre littérature et philosophie, et qu’on aura la possibilité épistémologique d’appeler  « littérature philosophique comparée » ou « philosophie littéraire comparée  »  ?

     Toutes ces questions, outre les préoccupations inhérentes, propres aux niveaux analytiques, méthodologiques et critiques, se situent au sein des axes de recherches suivants que le comité scientifique du colloque propose aux collègues chercheurs et académiciens nationaux et internationaux en vue d’y apporter d’autres questions, réponses et hypothèses.

  • Première section thématique : Vers un paradigme possible pour décrypter les divers rapports entre littérature et philosophie .Possibilité de paramétrer ces rapports à la lumière d’une référence théorique soutenable, ou au contraire on ne peut à cet égard que formuler des hypothèses plus ou moins pertinentes. L’idée de  « littérature philosophique » et de « philosophie littéraire comparée. »
  • Deuxième section thématique : L’écriture en tant que créativité artistique/littéraire et parallèlement, une forme de théorisation philosophique. L’idée de dissolution des frontières épistémologiques.- Le texte en tant que synthétisation linguistique entre la rhétorique et le concept théorique, ou plutôt entre la métaphore et l’abstraction conceptuelle. Etudes comparatifs (Textes typiques à l’appui)
  • Troisième section thématique : La question de l’intersection historique marquante entre littérature et philosophie : Etudes théoriques et analytique : Les formes des interactions-les caractéristiques-les contextes et les questions critiques…..
  • Quatrième section thématique : Archétypes d’une philosophie littéraire et d’une littérature philosophique. Etudes appliquées sur des textes de dissertation théoriques ou de production imaginaire.      

 

  • Coordonnateur du colloque : Pr. Farid Lamrini
  • Comité scientifique :
  • Pr.Farid Lamrini – Coordonnateur
  • Pr.Hassan Banhakeia
  • Pr.Abouabdessalam El Idrissi
  • Pr. Abdelhamid Youyou
  • Pr. Ali Seddiki
  • Pr. El Hossaien Farhad

 

  • Comité d’organisation :

 

  • Pr. Farid Lamrini  
  • Pr. Hassan Banhakeia
  • Pr.Abouabdessalam El Idrisi
  • Pr. Abdelhamid Youyou
  • Pr. Ali Seddiki
  • Pr. El Hossaien Farhad
  • Pr.Belkacem Eljattari  
  • Pr.Youssef Taghzaoui
  • Pr. Abdellatif Taliouane

 

- Dates importantes :

     - La date de réception des résumés est fixée au 30 Septembre 2016. Envoyer environ de 500 mots  (10 à 15 lignes) + Formulaire d’inscription dûment rempli (ci-joint) + CV abrégé.

- L'avis du comité scientifique sur les propositions acceptées sera communiqué aux auteurs au plus tard le 15 Octobre 2016.

- La réception des papiers : Texte intégral (Article) est fixée au plus tard au

28 Février 2017.

-L’avis du comité scientifique sur les papiers acceptés définitivement, sera communiqué aux auteurs, au plus tard  le 30 Mars 2017.

- La tenue du colloque  sera le Mercredi 03 et Jeudi 04 Mai 2017.

-Le comité d’organisation prend en charge le logement et la restauration des participants pendant les deux jours du colloque.

- Contact :

     -Les propositions de communication doivent être adressées au coordonnateur général du colloque, sur l’une des deux adresses  suivantes:

-Pr. Farid Lamrini,   

E-mail, farid_lamrini@yahoo.fr ,   f.lamrini@ump.ma

 

  • Format des propositions :

Les propositions de communication intégrale sous format Word, taille 12, Times New Roman (12 pages maximum, y compris la bibliographie et les illustrations) devront comprendre les éléments suivants :

1) Les coordonnées précises de l’auteur ;

2) Le titre de la communication ;

3) Le résumé ; abstract : Les mots-clés- Hypothèse de recherche-problématique principale-Méthodologie et approche probables adoptées. 

 

-Publication :

  • une sélection de communications sera publiée par les organisateurs, après le colloque. Elle ne concernera que les articles dont le résumé et le texte intégral auront été envoyés dans les délais, et validés auparavant par le comité scientifique.

 

-Les Langues du colloque :

  • Arabe, Français. Les textes rédigés en Anglais et en Espagnol sont admis, sauf que leurs présentations devront se faire en français ou en Arabe.

 

  

 

 

 

Royaume du Maroc

Université Mohamed Premier – Oujda

Faculté pluridisciplinaire de Nador

 

 

 

 

  • Colloque international :

Littérature et philosophie : Repérages critiques

Nador : 03-04 Mai  2017

 

 

 

FORMULAIRE D’INSCRIPTION

 

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