Revue
Nouvelle parution
Cahiers staëliens n°66 :

Cahiers staëliens n°66 : "August-Wilhelm Schlegel (1767-1845): les années Staël. Carte blanche aux jeunes chercheurs"

Publié le par Alexandre Gefen (Source : Blandine Poirier)

Cahiers staëliens, n°66, 2016 : "August-Wilhelm Schlegel (1767-1845): les années Staël. Carte blanche aux jeunes chercheurs"

Editions Honoré Champion

ISBN 3600120175236

268 p.

Prix : 30 euros 

 

Table des matières :

Présentation par Stéphanie GENAND

AUGUST WILHELM SCHLEGEL (1767-1845) : LES ANNÉES STAËL

 Marie-Claire HOOCK-DEMARLE, « Le moment Coppet dans la vie et l’oeuvre d’August Wilhelm Schlegel ».


Jochen STROBEL, « Narcisse et muse dans Corinne ou l’Italie. Avec des remarques sur la correspondance entre August Wilhelm Schlegel et Germaine de Staël ».


Hector CANAL PARDO, « Schlegel et Sismondi. Le philologue, l’historien et la littérature ».


Stefan KNÖDLER, « ‘Schlegel (écrit par moi)’. August-Wilhelm Schlegel et Albertine Necker de Saussure ». 

Sabine GRUBER et Ralph ZADE, « ‘La fierté avec laquelle j’ose vous attribuer cette qualité d’ami’: Zacharias Werner et August Wilhelm Schlegel à Coppet ».


Clara STIEGLITZ, Entre élève et mentor : lumière sur la relation entre Auguste de Staël et August Wilhelm Schlegel ».

 Claudia BAMBERG, « Affaires familiales et religieuses : la correspondance entre August Wilhelm Schlegel et Albertine de Broglie (1812-1838) ».

Roger PAULIN, « Corinne au Cap Misène (1821). La contribution d’August Wilhelm Schlegel à l’iconographie et la mythologie staëliennes ». 

CARTE BLANCHE AUX JEUNES CHERCHEURS

Laura BROCCARDO, « La Terreur, angle mort de la fiction staëlienne ».

Aline HODROGE, « Dramaturgie de la mélancolie staëlienne ».

Margaux MORIN, « ‘Vous ne me connaissez pas’ : la voix et l’identité de Corinne ».

Cyrielle PESCHET, « ‘J’aime la correspondance’: redécouvrir Germaine de Staël l’épistolière ».

Blandine POIRIER, « Germaine de Staël parrèsiaste dans Des Circonstances actuelles ».

VARIA

Monique BERNARD, « La dernière lettre de Charles de Villers à Germaine de Staël ».