A. Foglia-Loiseleur & L. Zimmermann (dir.), Capitale de la douleur de Paul Eluard. "A la lueur de la jeunesse"
Référence bibliographique : A. Foglia-Loiseleur & L. Zimmermann (dir.), Capitale de la douleur de Paul Eluard. "A la lueur de la jeunesse", , 2014.
Capitale de la douleur de Paul Eluard. "A la lueur de la jeunesse"
Sous la direction d'Aurélia Foglia-Loiseleur & Laurent Zimmermann
Editions Hermann, "Cahier Textuel", 2014
120 pages – 190 x 260 mm
EAN: 9782705688349
20,00 €
Présentation de l'éditeur:
Lorsqu’il publie en 1926 Capitale de la douleur, Paul Eluard entend produire la somme d’une aventure poétique de très longue durée, puisque le recueil comporte certains vers issus de ses tout premiers poèmes, écrits en 1914. Mais c’est surtout la période dada et celle du surréalisme naissant que couvre l’ouvrage. Recueil difficile, par son hermétisme qui est parfois paradoxalement un hermétisme de la simplicité, autant que date essentielle dans l’histoire littéraire, Capitale de la douleur est issu relu par de grands spécialistes de la poésie moderne, après des années où la critique éluardienne a été laissée assez largement en friche, et éclairé à la lumière d’approches critiques et de connaissances nouvelles.
Sommaire:
Avant-propos, par Aurélie Foglia-Loiseleur et Laurent Zimmermann
I. L'image dans Capitale de la douleur : une poétique à contretemps, par Michel Murat
II. Les jeux du désir et du poème, par Jean-Michel Maulpoix
III. Boucles lyriques, par Dominique Rabaté
IV. Répétitions dada, répétition mythique. Éluard, Warhol et Pavese, par Jean-Patrice Courtois
V. « Pour voir plus loin » : éloge de l’invisible (à propos de « Répétitions »), par Henri Scepi
VI. « Nouveaux poèmes » : quelques interprétations, par Patrick Née
VII. Éclaircissements. Présence de la peinture dans la capitale de la douleur, par Martine Créac'h
VIII. Les poèmes en prose de Capitale de la douleur : Paul Éluard face à la querelle littéraire de 1915 à 1926, par Antonio Rodriguez
IX. Les arts poétiques latents dans Capitale de la douleur, par Luc Fraisse
X. « La parole » a la parole, par Michel Murat