Essai
Nouvelle parution
N. RIcalens-Pourchot, Les Facéties du français

N. RIcalens-Pourchot, Les Facéties du français

Publié le par Matthieu Vernet

Nicole RIcalens-Pourchot, Les Facéties du français

Paris : Armand Colin, 2012.

EAN 9782200279660.

293 p.

Prix 15EUR

Présentation de l'éditeur :

Tantôt burlesques, tantôt surprenants ou mystificateurs, les tours que nous joue la langue française peuvent nous laisser amusés, stupéfaits, hésitants ou perplexes.Dans notre langue « scintillante et stimulante », ambiguïtés et surprises étranges ou comiques ne manquent pas et peuvent même parfois paraître vicieuses. La plupart d'entre elles sont aisément répertoriées par ceux ou celles qui décortiquent la langue pour l'enseigner.
Certaines de ces facéties sont si bien ancrées qu'il est impensable d'y toucher ; d'autres sont dues à des déformations, à de mauvaises interprétations, à des traces historiques occultées ; d'autres encore sont bien souvent incontournables parce qu'elles font partie du « génie » de la langue. Répertoire passionnant qui explique, illustre et remonte dans le temps pour éclairer les faits langagiers les plus étonnants, déroutants ou originaux par l'Histoire, l'étymologie, avec un souci de clarté et de précision. Un livre à découvrir en parcourant à votre gré ses pages qui devraient vous faire aimer davantage la langue française. Nicole Ricalens-Pourchot a enseigné la linguistique et la littérature française au Collège Marianopolis et à l'université McGill de Montréal (Québec).
Elle est notamment l'auteure des Facéties de la francophonie : dictionnaire de mots et locutions courantes, familières et même voyoutes.

Sommaire :

  • Phonétique : méprises faciles, faux frères et singularités
  • Graphie et orthographe : cafouillage et étonnements
  • Syntaxe : déplacements, complexité et bizarreries
  • Grammaire : excentricités, hésitations, subtilités
  • Vocabulaire : tendance sexiste et sens contextuel
  • Sémantique : pièges et ambiguïtés
  • Etymologie : les mots cachent bien leur jeu
  • Ponctuation : "la respiration de la phrase" n'est pas la même pour tous