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Les intraduisibles du vocabulaire critique 

Les intraduisibles du vocabulaire critique

Publié le par Arnaud Welfringer (Source : Delphine Denis)

Poétique et rhétorique aux siècles classiques : Les intraduisibles du vocabulaire critique

Séminaire organisé par Delphine Denis, en collaboration avec Carine BARBAFIERI et Laurent SUSINI

Année universitaire 2015-2016

Bibliothèque de l'UFR de Langue française (Esc. G., rez-de-chaussée), les mardis de 16h à 18h

 

Premier semestre

 

 

6 octobre — Introduction générale et accueil des participants

 

13 octobre — Atelier méthodologie de la recherche (1) :

initiation à Frantext (Antoine Gautier, Paris-Sorbonne) 

 

20 octobre — Atelier méthodologie de la recherche (2) :

normes éditoriales et outils bibliographiques

 

3 novembre — Alain Riffaut (Le Mans):

 « Initiation à l’archéologie du livre »

 

10 novembre — Delphine Amstutz (Paris-Sorbonne)

« L'invention de l'absolutisme: enquête sur un intraduisible historiographique »

 

17 novembre — Karine Abiven (Paris-Sorbonne)

« La familiarité. Sur les intraduisibles pragmatiques »

 

24 novembre — Hugh Roberts (Exeter)

« Non-sens et intraduisibilité »

 

1er décembre — Sophie Hache (Lille-III)

« Le style puéril, un problème de hauteur? »

 

8 décembre — Lise Charles (Paris-Sorbonne)

« “L'art tout classique de la préparation”: prolepses et amorces dans la pensée classique »

 

15 décembre — Jean-Yves Vialleton (Grenoble-III)

« Les bienséances dans le théâtre classique »

*

Second semestre

2 février — Larry Norman (Chicago)

« Qu'est-ce que le classicisme? Étude comparée des vocabulaires critiques nationaux »

 

9 février — Elsa Véret (Paris-Sorbonne)

« Stupeur et étonnement: le champ notionnel de la merveille »

 

16 février — Blandine Perona (Valenciennes)

« Sur la “liberté indiscrète de dire à tort et à droit” de Montaigne :

les traductions du mot parrhesia dans les Essais »

 

23 février — Françoise Poulet (Bordeaux-III)

« “Ou bien il ne sçait ce que veut dire extravagante”:

l'extravagance entre folie, bizarrerie et inconvenance »

 

8 mars — Francis Goyet (Grenoble-III),

« Impression, de Montaigne à Nisard : un mot pour traduire mouere ou pathos ? »

 

15 mars — Arnaud Welfringer (Paris 8)

« La parrêsia à l'âge classique, un "office sans nom" »

 

22 mars — Jean-Philippe Grosperrin (Toulouse-II)

« “Qu'appelez-vous peindre?” Contours de la peinture (XVIIe-XVIIIe siècle):

rhétorique, poétique, imaginaire »

 

29 mars — Emma Claussen (Oxford)

« La/le politique à la fin du XVIe siècle »

 

5 avril — Gilles Siouffi (Paris-Sorbonne),

« Le génie de la langue entre les langues »

 

12 avril — Déborah Knop (Grenoble-III)

« Méthode de prudence, crypse et insinuation : quelques intraduisibles de Ramus »

 

 3 mai — Jean-Charles Monferran (Strasbourg),

« Les mots du vers (XVIe-XVIIe siècles) »