Essai
Nouvelle parution
Le Doux aux XVIe et XVIIe siècles

Le Doux aux XVIe et XVIIe siècles

Publié le par Marielle Macé (Source : Marie-Hélène Prat)

 

Le Doux aux XVIe et XVIIe siècles

sous la direction de Marie-Hélène Prat et Pierre Servet

Cahiers du GADGES, n° 1, Droz, 2003.

 

 

Sommaire

 

Jean-Pierre Landry

Avant-propos                                                           

 

Mireille Huchon

Le doux dans les rhétoriques et poétiques françaises du XVIe siècle

 

Jean Lecointe

Douceur et harmonie cosmique dans la spéculation néo-platonicienne au début du XVIe siècle en France

 

Luigia Zilli

Des « vers emmiellez » de Mellin de Saint-Gelais aux « douceurs nompareilles » de Joachim Du Bellay

 

André Gendre

L'essence qualitative du « doux » chez Ronsard, Du Bellay et Baïf          

 

Pierre Servet

Douceurs de Montaigne                                                                  

 

Marie-Hélène Prat

D'Aubigné ou la douceur indicible                                      

 

Jean-Pierre Landry

Pascal et la douceur. Une rêverie herméneutique sur les Pensées   

 

Marine Ricord

« O douce volupté... ». Les douceurs de la sagesse dans Les Amours de Psyché et de Cupidon de La Fontaine

 

Sabine Gruffat

La parole fabuleuse de La Fontaine : un art de l'euphémisation ?  

 

Carine Barbafieri

Du bon usage de la douceur dans la peinture du héros tragique

 

Pierre Giuliani

Esther et la douceur : une gageure dramatique

 

Olivier Leplatre

Le nuage de Minerve. Le doux, le neutre dans Les Aventures de Télémaque de Fénelon

 

Éric Méchoulan

La douceur du politique                                                                  

 

Delphine Denis

La douceur, une catégorie critique au XVIIe siècle  

 

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Le GADGES (Groupe d'Analyse de la Dynamique des Genres et des Styles, 1520-1720) est un  groupe de recherche rattaché au Centre Jean Prévôt (EA 3712) de l'Université Jean Moulin-Lyon 3. Ses recherches impliquent en diachronie l'étude d'une évolution : la constitution des genres dans une période d'effervescence et de normalisation théoriques (naissance de genres et de sous-genres, définitions, manifestes, polémiques...), ainsi que leurs mutations - glissements entre genres et registres, succession des genres, mais aussi les transformations des pratiques d'écriture et leurs relations avec l'institution littéraire. Elles appellent également un travail sur les interactions  entre genres « limitrophes », les influences extérieures, les emprunts d'un genre à l'autre, ou d'un art à l'autre. L'accent mis sur la notion de dynamique impose des approches variées, celle-ci pouvant être saisie à travers un thème, un motif, un type d'écriture, un procédé, un ou des genre(s), un phénomène ou un mouvement littéraire(s).

 

Le GADGES édite une revue annuelle, Les Cahiers du GADGES, diffusée par les éditions Droz.

N° 1, 2003 : Le « doux » aux XVIe et XVIIe siècles

N° 2, 2004 : La parole masquée.

N° 3, 2005 : Le temps des « beaux sermons ».