La semaine du 5 au 11 juillet sur le site de SLU
http://www.sauvonsluniversite.com/spip.php?article3923
L'imposture, toujours
Le Syndicat des Inspecteurs d'Académie pointe le décalage entre les mots et les paroles du gouvernement (16 juin 2010).
Le SNCS et du SNESUP le montrent dans un communiqué sur le Crédit Impôt Recherche (9 juillet 2010).
"La morale a bon dos", déclare une des rédactrices de la pétition contre l'épreuve "agir en fonctionnaire éthique et responsable" (2 juillet 2010).
Mediapart s'intéresse aux petites manoeuvres de l'enseignement privé catholique, aidé par le gouvernement (7 juillet 2010).
Les trente millions de Bettencourt, combien de postes dans l'ESR ? s'interroge Bertrand Monthubert (6 juillet 2010).
"Ne vous inquiétez pas, on va vous supprimer, mais on en parlera et ce sera sans douleur". Les propos apaisants du MESR au Groupement des Associations de Langues Étrangères (5 juillet).
Le MESR a bien écouté les recommandations du Conseil d'État : publication des arrêtés "nouveaux" autorisant au titre de l'année 2011 l'ouverture des concours de recrutement (5 juillet 2010).
Enfin, au programme, désormais, l'allongement de l'année universitaire. Il serait quand même dommage de gaspiller l'été à faire de la recherche. C'est l'excellence, on vous dit (8 juillet 2010).
Il a vraiment fait chaud
La CPU travaille sous la canicule ; les résultats ne sont pas probants (8 juillet 2010)
Valérie a aussi dû prendre un coup de chaud : elle tente des formules magiques pour rajeunir "la vieille dame" (l'Université) et favoriser l'excellence de la recherche française (7 juillet 2010).
Apparemment, elle n'est pas au courant qu'au CNRS, on ne devrait pas remplacer 1 fonctionnaire sur 2. C'est M. Carrez qui le préconise : il garde visiblement la tête froide des hommes de Bercy (7 juillet 2010)
Qu'à cela ne tienne, la rentrée elle aussi sera chaude. Libération le pense (5 juillet), les organisations étudiantes l'annoncent (7 juillet).
La chaleur n'empêche pas l'action
SLU soutient l'initiative de SLR : envoyez des lettres de refus de candidature à la PES au président de votre université.