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L’écriture de résistance : entre (d)énonciation et transgression (Congrès CIÉF, Gdansk, Pologne)

L’écriture de résistance : entre (d)énonciation et transgression (Congrès CIÉF, Gdansk, Pologne)

Publié le par Université de Lausanne (Source : Mariana Ionescu)

Atelier « L’écriture de résistance : entre (d)énonciation et transgression »

Congrès mondial du CIÉF

Gdansk, Pologne, 8-14 juin 2020

 

En contexte postcommuniste et postcolonial nombreux sont les écrivains francophones qui puisent dans une multiplicité d’entre-deux (géographique, politique, social, culturel, identitaire) afin de régler leurs comptes avec un régime qui interdisait toute forme de langage potentiellement subversif. Aussi l’écriture s’impose-t-elle comme un moyen de voir clair, de sortir de la confusion identitaire et de se débarrasser des visions parfois cauchemardesques dominées par les répressions et la violence. Cependant, cette écriture « qui peut », située entre (d)énonciation et transgression, ouvre aussi les portes vers un monde d’invention, capable de suspendre les dangers réels et de dissiper les peurs.

Cet atelier accueille des propositions de communication portant sur l’urgence du témoignage comme moyen de (d)énonciation et de résistance efficace contre les aléas de l’Histoire.

Propositions à adresser avant le 31 octobre 2019 à : Mariana Ionescu, mionesc2@uwo.ca