Essai
Nouvelle parution
Histoire de la littérature québécoise

Histoire de la littérature québécoise

Publié le par Gabriel Marcoux-Chabot (Source : Site web de la maison d'édition)


Michel BIRON, François DUMONT et Élisabeth NARDOUT-LAFARGE, Histoire de la littérature québécoise, Montréal, Boréal (Essais et documents), 2007, 700 p.
ISBN-13 978-2-7646-0522-6


RÉSUMÉ

La première grande histoire de la littérature québécoise depuis plus de quarante ans. Une synthèse de près de cinq cents ans de littérature, qui va de Jacques Cartier à Nicolas Dickner. Préparé par une équipe de spécialistes, un document essentiel qui s’adresse aussi bien aux lecteurs d’ici qu’à tous ceux qui, dans le monde, veulent connaître notre littérature.
 

La littérature québécoise n'est plus un projet, comme à l'époque de la Révolution tranquille, mais un héritage de lectures.
Pour bon nombre de lecteurs d'aujourd'hui, l'initiation à la littérature s'est faite au moins en partie à travers les œuvres d'Emile Nelligan, de Gabrielle Roy, d'Anne Hébert ou de Réjean Ducharme. Pourtant, aucune grande synthèse n'a été consacrée à la littérature québécoise depuis longtemps. Pour saisir cette littérature à partir d'un point de vue contemporain, une nouvelle somme s'imposait. Ce livre constitue à la fois une mise en situation et une relecture des textes littéraires québécois, des origines à nos jours.
De très nombreux travaux de recherche ont renouvelé depuis une trentaine d'années l'étude de la littérature québécoise, mais l'ensemble du corpus n'avait pas été relu à la lumière de ces travaux ni, d'ailleurs, en fonction du développement récent de la littérature elle-même. Cet ouvrage vient combler cette lacune en se basant sur trois grands principes : faire prédominer les textes sur les institutions ; proposer des lectures critiques ; marquer les ruptures qui distinguent chacune des périodes.
Embrassant l'ensemble des textes littéraires depuis la Nouvelle-France, les auteurs dessinent le portrait de la littérature québécoise en s'attachant aussi bien à la singularité des œuvres qu'aux transformations du contexte dans lequel elles s'inscrivent.