Essai
Nouvelle parution
J. Fame Ndongo, Essai sur la sémiotique d'une civilisation en mutation. Le génie africain est de retour

J. Fame Ndongo, Essai sur la sémiotique d'une civilisation en mutation. Le génie africain est de retour

Publié le par Marie Minger (Source : Alice Delphine Tang)

Jacques Fame Ndongo, Essai sur la sémiotique d'une civilisation en mutation. Le génie africain est de retour, Paris, L'Harmattan,  coll. «Etudes africaines», 2015.

EAN13: 9782343069555

28 EUR

 

Présentation de l'éditeur

Le présent essai tente de décoder l'empire des signes qu'est le texte civilisationnel africain. Il rassure le lecteur sur la pertinence du génie africain, à partir d'un échantillon d'opinions positives sur l'Afrique du XXIe siècle. Il propose, en annexe, une liste non exhaustive des inventions réalisées par des Africains. A l'aune de la civilisation planétaire, l'Afrique constitue un modèle spécifique fonctionnant avec une double articulation systémique, qui comporte le phénotexte (texte visible) et le génotexte (texte caché). Le défi de l'«ethos» africain du XXIe siècle est de réconcilier science et mythe, individu et groupe, technique et solidarite,rigueur et spontanéité vitale.

En s'appuyant sur une lecture scientifique des signes sociaux, l'auteur démontre que l'application d'une telle étude à la civilisation africaine permettra de tendre vers la quiétude, le mieux-être, et un authentique dialogue des cultures du monde.

 

Essayiste, romancier, poète et dramaturge, membre de l'Association des écrivains de langue française (Adelf, Paris), Jacques Fame Ndongo, est à la fois professeur titulaire des universités camerounaises (sémiologie littéraire) et communicateur (diplômé de l'Ecole supérieure de journalisme de Lille en 1972). Il a été directeur de l'Ecole supérieure des sciences et techniques de l'information et de la communication (1981-1993), chargé de mission à la présidence de la République (1984-1998), recteur de l'université de Yaoundé-1 (1998-2000), ministre de la Communication (2000-2004). Depuis le 8 décembre 2004, il est ministre de l'Enseignement supérieur du Cameroun.