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Travail et famille dans une société d’ordres / Arbeit und Familie in der ständischen Gesellschaft (1150-1815) (Francfort-sur-le-Main)

Travail et famille dans une société d’ordres / Arbeit und Familie in der ständischen Gesellschaft (1150-1815) (Francfort-sur-le-Main)

Publié le par Romain Bionda (Source : Audrey Dauchy et Laila Scheuch)

Travail et famille dans une société d’ordres.

Dialogue interculturel dans une perspective interdisciplinaire

Appel à contribution – Atelier franco-allemand de jeunes chercheurs

La porosité des liens existant entre le monde du travail et la sphère familiale au Moyen-Âge et à l’époque moderne peut paraître éloignée des réalités que connaissent les actifs du monde occidental actuel, le travail salarié s’exerçant aujourd’hui presque exclusivement en dehors de son propre domicile. Il existe pourtant de plus en plus de situations diverses dans lesquelles travail et cercle privé s’entrecroisent ; le travail indépendant, au sein d’une communauté de vie et le télétravail en sont des illustrations. Ces évolutions conduisent à un regain d’intérêt pour  l’interdépendance historique entre le travail et la famille en Europe de l’Ouest. Les questions relatives au travail et à l’économie occupent à nouveau une position privilégiée dans la recherche en histoire et en histoire du droit, comme en témoigne la tenue des conférences « Arbeit und Freizeit in Industriegesellschaften des 19. und 20. Jahrhunderts » (Vienne, janvier 2016) et « Gender, Law and Economy in Early Modern and Modern Europe » (Rouen, novembre 2016). L’atelier complète ces approches sous l’angle de la famille et de l’influence de différentes normes, en relation avec les questions de diversité culturelle et sociale dans une société d’ordres.

Ces journées ont pour objectif de proposer à des jeunes chercheurs français et allemands spécialisés en histoire et en histoire du droit un forum de discussion durant lequel ils pourront engager un dialogue interdisciplinaire et présenter leurs recherches sur les relations, les influences réciproques, les contradictions et les courants contraires entre les notions de travail et de famille du Moyen-Âge central à la fin de l’époque moderne (vers 1100-1815). La cohérence de cette longue période historique réside dans le modèle de la société d’ordres, quand l’époque contemporaine voit se développer un modèle de société bourgeoise associé à une valorisation accrue de l’individu. La notion de « travail » sera circonscrite à son acception utilisée dans les sciences sociales, à savoir non seulement une activité humaine ayant pour but la subsistance et l’acquisition de biens de consommation, mais encore ce qui est appelé « Reproduktionsarbeit », et qui pourrait être défini comme l’ensemble des tâches nécessaires à la reproduction d’un rang familial. Ces journées s’articuleront autour de trois angles d’approche : le phénomène de négociation des normes, les inégalités, et l’influence du contexte politique, culturel et socio-économique.

1. Négociation des normes : conformité, contournement et instrumentalisation

Ce thème concerne aussi bien la perception des normes et des pratiques existant dans les rapports -éventuellement conflictuels- entre travail et famille que les pratiques et idéologies normativement marquées en elles-mêmes. Le terme de normativité doit être ici entendu en tant que multinormativité, et comprend non seulement le droit écrit et coutumier, mais aussi les normes sociales, religieuses, culturelles, techniques et économiques. De quelle manière des champs du droit aussi divers que les statuts et règlements de corporations, les divers régimes matrimoniaux, le droit successoral, les règles relevant du droit du travail comme le louage de services, ou encore les institutions religieuses du droit telles que la séparation de corps peuvent-ils avoir une influence sur le travail dans un contexte familial ? Comment ces normes, majoritairement de droit privé, interagissent-elles avec les logiques économiques et les normes sociales et religieuses ? On peut penser à cet égard aux représentations de travail « typiquement féminin » ou « typiquement masculin ». Il faut aussi prendre en compte la diversité des contextes culturels et sociaux. Quels intérêts guident les acteurs, quelles stratégies sont-elles mises en œuvre pour suivre, contourner, ou enfreindre ces normes ?

2. Inégalités

Ce bloc thématique vise à mettre en lumière l’influence de paramètres comme l’âge, le niveau social, l’état civil, le sexe, le contexte culturel, la religion, le milieu urbain ou rural. Les champs possibles de recherche sont par exemple l’accès à certaines activités ou la rétribution du travail. Ces catégories structurelles, mais aussi les différentes situations et constellations de parenté, comme la famille nucléaire, recomposée ou élargie (tante, grand-père, enfant…), doivent être prises en considération, conformément à une réalité complexe. Selon quels critères participe-t-on à des activités artisanales, libérales, de commerce, de service ou de gérance de propriété ? Certains critères sont-ils plus importants que d’autres? Quelles répercussions ont ces inégalités sur la qualité des relations familiales ? On peut ainsi penser à la construction et à la disparition de réseaux familiaux et d’entreprises familiales. Il est aussi possible d’envisager différentes formes de travail comme le Verlagssystem ou le travail salarié en dehors du cercle domestique qui entretiennent des liens étroits à l’égard du foyer familial pour la première, et des liens plus lâches pour la seconde. La question de la diversité culturelle et sociale peut être illustrée dans ces termes.

3. Impact des mutations politiques, culturelles et socio-économiques

Le rôle qu’ont joué les macro-phénomènes politiques, culturels, religieux et socio-économiques comme la peste noire et ses récurrences, les Réformes protestantes, le mercantilisme, la proto-industrialisation et la Révolution française sur l’interdépendance entre travail et famille constitue un dernier angle d’approche. Quelles conséquences ont eu de tels événements et changements structurels à l’échelle de la famille et de ses possibilités de travail ? Quelles évolutions peut-on discerner entre le Moyen-Âge central et le début de l’époque moderne ? Ce point essentiel souligne l’orientation de l’atelier dans une perspective de longue durée du Moyen-Âge central au début de l’époque contemporaine, et avec un fort éclairage micro-historique dans le champ de l’histoire de la famille et du travail. Le dialogue entre les disciplines est intimement lié à cette orientation. Quelles sources et quelles approches sont-elles utilisées par les historiens et les historiens du droit, et de quelle manière se distingue chaque champ disciplinaire au regard des phénomènes étudiés ?

 

Organisation

Dates: 8 et 9 juin 2017

Lieu: Max-Planck-Institut für europäische Rechtsgeschichte, Francfort-sur-le-Main

Langues de travail: allemand et français, le cas échéant en anglais

L’atelier adopte une approche pédagogique et interculturelle dans le but de rendre possible et de renforcer l’échange interdisciplinaire franco-allemand, ainsi que la construction d’un réseau de jeune recherche. En réunissant jeunes chercheurs et chercheurs confirmés, l’opportunité sera offerte aux jeunes chercheurs de présenter leur recherche, pendant que l’expertise et le savoir des chercheurs confirmés permettront d’assurer la direction, la modération et la discussion de l’atelier, dans une perspective de transmission.

La présentation des jeunes chercheurs sera composée de trois parties qui seront toutes préparées dans leur langue maternelle :

une affiche expliquant le sujet de recherche, les sources, les approches et les résultats à l’aide de textes courts et d’outils visuels (graphiques, images, etc.) ; un exposé oral de 10 à 15 minutes présentant les principaux résultats dans une démarche argumentative et invitant à la discussion ; un PowerPoint accompagnant l’exposé oral.

Afin de faciliter la tâche des participants, les organisatrices communiqueront un guide de réalisation de l’affiche. Elles se chargeront également de la traduction des textes de la langue maternelle dans l’autre langue et des impressions papier. 

Grâce à cette préparation, chaque session de l’atelier commencera par une consultation des affiches et une discussion informelle à leur sujet ; les affiches aideront à lever les barrières communicationnelles relatives à la langue et aux spécificités disciplinaires qui pourraient entraver la compréhension des contenus. L’élaboration d’affiches permettra en outre aux jeunes chercheurs de se familiariser avec cette forme de communication scientifique qui est de plus en plus utilisée en histoire. Cette première étape laissera la place aux exposés oraux, puis aux discussions, qui seront modérées par un chercheur confirmé pour chaque session. En conclusion de ces journées, les chercheurs confirmés commenteront la session qu’ils auront présidée, puis feront la synthèse des principaux résultats lors de la discussion de clôture.

Les propositions de sujets (max. 500 mots, en français ou en allemand) accompagnées d’un CV pourront être adressées jusqu’au 11 mars 2017 par des jeunes chercheurs des disciplines précitées, mais aussi d’autres disciplines, aux organisatrices Audrey Dauchy et Laila Scheuch à l’adresse suivante : arbeitundfamilie2017@institutfrancais.de

Cette manifestation bénéficie du soutien de l’Université franco-allemande (UFA).

Une publication des actes de l’atelier pourra être envisagée. 

Les organisatrices font leur possible pour assurer la prise en charge intégrale des frais de voyage et d’hébergement des participants.

Composition de la commission de sélection :

Prof. Dr. Thomas DUVE, Direktor, Max-Planck-Institut für europäische Rechtsgeschichte

Prof. Dr. Pierre MONNET, Directeur de l'Institut Franco-Allemand/Sciences Historiques et Sociales (IFRA/SHS), Directeur d'études à l'EHESS

Dr. Stefanie RÜTHER, Forschungskoordinatorin, Max-Planck-Institut für europäische Rechtsgeschichte

Prof. Dr.  Stefan VOGENAUER, Geschäftsführender Direktor, Max-Planck-Institut für europäische Rechtsgeschichte

 

Arbeit und Familie in der ständischen Gesellschaft.

Interdisziplinäre Perspektiven im interkulturellen Dialog

Call for Papers – Deutsch-französischer Nachwuchsworkshop

Die enge Verwobenheit von Arbeit und Familie in der Vormoderne erscheint in der heutigen westlichen Welt der überwiegenden Lohn- und Gehaltsarbeit außerhalb des eigenen Wohnorts von (nahezu ausschließlich) Erwachsenen fremd. Doch gibt es vielfältige Tendenzen, die Arbeit und das ‚Private‘ wieder näher aneinander rücken lassen: Freiberuflichkeit, Arbeits- und Lebenskollektive vor allem jüngerer Selbständiger, Arbeit im Homeoffice etc. Diese Entwicklungen rufen auch ein wieder erstarktes Interesse an den historischen Verflechtungen von Arbeit und Familie in Westeuropa hervor. Fragen nach Arbeit bzw. Wirtschaft(en) stehen aktuell im Fokus der geschichtswissenschaftlichen und rechtshistorischen Forschung: Konferenzen wie „Arbeit und Freizeit in Industriegesellschaften des 19. und 20. Jahrhunderts“ (Wien, Januar 2016) und „Gender, Law and Economy in Early Modern and Modern Europe“ (Rouen, November 2016) belegen die neue Intensität des Interesses. Der Workshop ergänzt diese Ansätze um den Gesichtspunkt der Familie sowie Fragen nach dem Einfluss verschiedener Normen in Verbindung mit kultureller und sozialer Diversität in der Ständegesellschaft.

Er zielt darauf ab, deutschen und französischen Nachwuchswissenschaftlerinnen und Nachwuchswissenschaftlern der Geschichtswissenschaft und der Rechtsgeschichte ein Forum zu bieten, in dem sie ihre Forschungen zu den Zusammenhängen, wechselseitigen Einflüssen, Widersprüchen und gegenläufigen Tendenzen zwischen Arbeit und Familie vom Hochmittelalter bis zum Ende der Frühen Neuzeit (ca. 1100-1815) vorstellen und im interdisziplinären Dialog diskutieren können. Die Kohärenz dieses langen Zeitraums liegt im Modell der Ständegesellschaft begründet, das sich von der entstehenden bürgerlichen Gesellschaft der Moderne mit der gesteigerten Wertschätzung des Individuums abgrenzt. Ausgehend von einer grundsätzlichen Einschränkung der Bedeutung des Begriffs ‚Arbeit‘ auf seine sozialwissenschaftliche Schattierung der menschlichen Tätigkeit zur Subsistenz und zum Erwerb von Konsumgütern, einschließlich der Reproduktionsarbeit, stehen drei Untersuchungsbereiche im Mittelpunkt der Tagung.

1. Normaushandlung: Konformität, Umgehung und Instrumentalisierung

Hier geht es sowohl um die Wahrnehmung von Normen und Praktiken im (Spannungs-)Verhältnis von Arbeit und Familie als auch um (normativ geprägte) Praktiken und Ideologien selbst. Normativität wird als Multinormativität gefasst und schließt nicht nur geschriebenes und Gewohnheitsrecht, sondern ebenso soziale, religiöse, kulturelle, technologische und wirtschaftliche Normen ein. Welchen Einfluss konnten so unterschiedliche Rechtsbereiche wie die Statuten und Vorschriften von Korporationen, verschiedene Güterstände, Erbrecht, arbeitsrechtliche Regeln bspw. zur Vermietung von Diensten oder auch kirchliche Rechtsinstitute wie die Trennung von Tisch und Bett auf die Arbeit im Kontext der Familie haben? Wie interagierten diese mehrheitlich privatrechtlichen Normen mit wirtschaftlichen Logiken, religiösen und sozialen Normen, bspw. Vorstellungen von ‚typisch weiblicher‘ und ‚typisch männlicher‘ Arbeit, in unterschiedlichen kulturellen und gesellschaftlichen Zusammenhängen? Mit welchen Strategien und Interessen befolgten, umgingen und/oder brachen Akteure und Akteurinnen mit diesen Normen?

2. Ungleichheiten

Dieser thematische Block rückt die Aufmerksamkeit auf den Einfluss von Kategorien wie Alter, sozialer Stand, Zivilstand, Geschlecht, kultureller Hintergrund, Konfession, Stadt und Land auf den Themenkomplex. Mögliche Untersuchungsgebiete sind beispielsweise der Zugang zu bestimmten Arbeitstätigkeiten oder die Entlohnung von Arbeit. Nicht nur diese Strukturkategorien, sondern vor allem verschiedene Verwandtschaftspositionen und -konstellationen wie Kern-, Stief- und erweiterte Familie, Tante, Großvater, Kind sollen einer komplexen Realität entsprechend in den Blick genommen werden. Inwiefern ergaben sich aufgrund einzelner oder mehrerer dieser Faktoren Ungleichheiten hinsichtlich der Teilhabe an Handwerk, Handel, Dienstleistungen, Freien Berufen und der Verwaltung von Eigentum? Welche Rückwirkungen hatten sie auf die Qualität familiärer Beziehungen, für den Aufbau oder die Desintegration familiärer Netzwerke und Betriebe, für unterschiedliche Arbeitsformen wie das Verlagssystem oder die außerhäusliche Lohnarbeit, die enger oder lockerer mit dem familiären Haushalt verbunden waren? Die Bedeutung von kultureller und sozialer Diversität soll so eingehend beleuchtet werden.

3. Einfluss politischen, kulturellen und sozioökonomischen Wandels

Ein letztes Interesse besteht in der Rolle von politischen, kulturellen und sozioökonomischen Makrophänomenen wie der Großen Pest, der Reformation, des Merkantilismus, der Proto-Industrialisierung und der Französischen Revolution auf die Verflechtungen von Arbeit und Familie. Welchen Niederschlag fanden solche ‚Großereignisse‘ und strukturellen Veränderungen auf der Mikroebene der Familie und ihren Arbeitsmöglichkeiten? Welche Entwicklungen lassen sich zwischen dem Hochmittelalter und dem Beginn der Moderne ausmachen? Dieser Schwerpunkt unterstreicht die Ausrichtung des Workshops an einer Verbindung der Perspektive der longue durée vom Hochmittelalter zum Beginn der Moderne mit dem stärker mikrohistorisch ausgerichteten Feld der Geschichte der Familie und der Arbeit. Eng damit verknüpft ist das Gespräch zwischen den Disziplinen. Welche Quellen und Herangehensweisen nutzen HistorikerInnen und RechtshistorikerInnen und inwiefern unterscheidet sich das jeweilige Erkenntnisinteresse im Hinblick auf die Zielebene?

Organisation

Datum: 08.-09. Juni 2017

Veranstaltungsort: Max-Planck-Institut für europäische Rechtsgeschichte, Frankfurt am Main

Arbeitssprachen: Deutsch und Französisch, ggf. erweitert um Englisch

Das Atelier verfolgt einen interkulturellen pädagogischen Ansatz mit dem Ziel, den interdisziplinären und deutsch-französischen Austausch sowie die Netzwerkbildung von NachwuchswissenschaftlerInnen zu ermöglichen und zu intensivieren. Daher trennt der Workshop die Art der Teilnahme nach ‚NachwuchswissenschaftlerInnen‘ und ‚WissenschaftlerInnen‘. Die erstgenannten erhalten die Möglichkeit ihre Forschungen zu präsentieren, die letztgenannten werden gebeten, den Workshop einzuleiten, zu moderieren und zu kommentieren, um so ihr Wissen und ihre Erfahrung weitergeben zu können.

Die Präsentation der NachwuchswissenschaftlerInnen besteht aus drei Teilen, die sämtlich in der Muttersprache vorbereitet werden:

ein Poster, welches das Forschungsthema, Quellen und Herangehensweisen sowie Ergebnisse mithilfe von knappen Texten sowie visualisierenden Methoden (Grafiken, Bilder etc.) erläutert;

ein Kurzreferat von 10 bis 15 Minuten, das argumentativ die wichtigsten Ergebnisse darlegt und zur Diskussion einlädt;

eine unterstützende PowerPoint.

Die Organisatorinnen stellen einen Leitfaden für die Anfertigung der Poster bereit und übernehmen sowohl die Übersetzung der muttersprachlichen Textteile in die andere Sprache des Workshops sowie den Druck, um die TeilnehmerInnen zu entlasten.

Aufbauend auf diesen Vorbereitungen wird jedes Panel des Workshops mit einem Posterrundgang beginnen, der darauf abzielt, im informellen persönlichen Gespräch an den Postern und über ihren Inhalt sprachliche und disziplinäre Kommunikationsbarrieren aufzuheben. Die Erstellung von Postern hat außerdem den Vorteil, die NachwuchswissenschaftlerInnen mit dieser Form der wissenschaftlichen Kommunikation vertraut zu machen, die zunehmend in den Geschichtswissenschaften genutzt wird. An den Rundgang schließen sich die Kurzreferate mit Diskussion an, welche von jeweils einem/r WissenschaftlerIn geleitet wird. Zum Abschluss des Workshops kommentieren diese ‚ihr‘ Panel und führen in der Schlussdiskussion die wichtigsten Ergebnisse zusammen.

Themenvorschläge (max. 500 Wörter; geschrieben in Deutsch oder Französisch) von NachwuchswissenschaftlerInnen aus den genannten, aber gerne auch weiteren Disziplinen, werden bis zum 11. März 2017 mit einem kurzen Lebenslauf an die Organisatorinnen Audrey Dauchy und Laila Scheuch unter folgender Emailadresse erbeten : arbeitundfamilie2017@institutfrancais.de

Die Veranstaltung wird von der Deutsch-Französischen Hochschule gefördert.

Bei erfolgreichem Abschluss des Workshops ist eine Publikation der Ergebnisse vorgesehen.

Die Organisatorinnen bemühen sich um die komplette Übernahme der Reise- und Übernachtungskosten der TeilnehmerInnen.

Zusammensetzung der Auswahlkommission :

Prof. Dr. Thomas DUVE, Direktor, Max-Planck-Institut für europäische Rechtsgeschichte

Prof. Dr. Pierre MONNET, Directeur de l'Institut Franco-Allemand/Sciences Historiques et Sociales (IFRA/SHS), Directeur d'études à l'EHESS

Dr. Stefanie RÜTHER, Forschungskoordinatorin, Max-Planck-Institut für europäische Rechtsgeschichte

Prof. Dr.  Stefan VOGENAUER, Geschäftsführender Direktor, Max-Planck-Institut für europäische Rechtsgeschichte