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Artelogie n°1 (l'art, le patrimoine et la littérature de l'Amérique Latine)

Artelogie n°1 (l'art, le patrimoine et la littérature de l'Amérique Latine)

Publié le par Bérenger Boulay

Artelogie

Nouvelle revue sur l'art, le patrimoine et la littérature de l'Amérique Latine.

www.artelogie.fr


La Revue ARTELOGIE est une initiative qui émane d'un groupe de chercheurs de l' Equipe Fonctions imaginaires et sociales des arts et des littératures de l'EHESS à Paris. Elle couvre les Amériques latines dans leurs diversités. Ses numéros thématiques se proposent de suivre l'évolution des recherches portant sur ce vaste ensemble culturel. Pluridisciplinaire par conviction, elle a l'ambition de couvrir la plus grande variété de formes de création, autant intellectuelles, qu'artistiques et culturelles.

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Le N° 1 est en ligne:

Numéro 1, Printemps 2011, Dossier thématique : Brésil, questions sur le modernisme

Bien qu'il soit couramment admis que le mouvement moderniste brésilien s'est manifesté à São Paulo et tout particulièrement pendant la « Semana de arte moderna » de 1922, ce numéro tente de dépasser la seule dimension géographique et s'intéresse à la modernité brésilienne comme une multiplicité de champs de tension qui fut à l'origine d'une effervescence remarquable d'innovations ayant irrigué tout le vingtième siècle.

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Appel à contribution N°  2  :

Mexique : espace urbain et résistances artistiques et littéraires face à la ville « générique »

De la « merveille » moderniste à « l'enfer » contemporain, la ville de Mexico ne cesse de se transformer et ses changements entraînent réflexions et actions qui modifient sans cesse sa perception qu'on en a. C'est en effet dans la ville de México que se sont cristallisées depuis les années 20, avec les poètes, les peintres et les graveurs du mouvement « stridentiste », les projections utopistes de la ville mexicaine du futur. Le développement urbain et industriel va apparaître dans les peintures des muralistes, mais aussi chez les artistes des « Escuelas al aire libre », sans oublier, au milieu des années 30, les gravures des membres du « Taller de la Grafica Popular » (TGP).

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